Double personnalité.

chapitre 17: Juste une question de concentration.

J'ai entendu un cri. J'ai peur, je n'ai jamais eu aussi peur avant. J'aimerais tellement me réveiller et constater que tous ceci n'est qu'un horrible cauchemar. Mais je sais que ça n'arrivera pas. Je ne sais pas qui avait crié mais au fond de moi j'espérais que se soit Thomas qui ait poussé ce cri d'agonie et de souffrance.

Mes espoirs furent vite brisé, un rire de psychopathe retentit alors, et je sus que la personne qui venait de crier allait passer un très mauvais moment. Je suis coincé ici et je ne peux rien faire, ça m'énerve.

Qu'il crève dans d'atroce souffrance. Thomas ne mérite que ça. Je souhaite que sa maison brûle et que toute cette noirceur s'envole comme les cris de haine des pauvres victimes qu'il aurait fait souffrir auparavant. Un frison de plaisir me parcourut l'échine. Cette vision me remplissait de joie. Étais-je devenue folle ? Je n'en savais rien et pour être honnête, je m'en foutais. Tous cela allais bientôt finir. Pas pour moi mais pour lui.

PDV Thomas :

J'observais Loic, celui-ci venait de se prendre une décharge monumentale. Il avait été stupide en espérant qu'il pourrait venir chez moi et récupérer la fille.

-Tu es inconscient mon cher Loic. Comment as tu pu imaginer une seul seconde sortir d'ici vivant.

-L'espoir fait vivre dit il.

-Et bien tu ne vivras pas longtemps.

Je lui souris en montrant toutes mes dents. Je ne le laisserais pas ma proie s'envoler.

-C'est moi ou ça sent le brûlé dit Loic.

Ce rat n'avait pas tord quelque chose brûlait. Je partis en courant vers mon laboratoire et découvris que des flammes commençait à dévorer le plan de travail. Merde. Un des flacon sur la table avait du se renverser. Pourquoi faut il que ces trucs soient si facilement inflammable. J'attrape un extincteur et vient à bout des flammes. Je regarde si rien d'important n'a brûlé. Je découvre que la photo de famille a été à moitié rongé par les flammes. Ma mère n'y est plus. Ce n'est pas grave, après tous ce n'est qu'une photo.

Je redescend narguer ma victime et je remarque que celle-ci n'est plus là.

-Merde. C'est pas possible. Murmurais je entre mes dents.

-Alors, tu veux jouer sale petit rat. Alors jouons, si je te trouve, tu crèves.

Donc essaye de ne pas faire trop de bruit et puis je suis gentil, je vais te donner un énorme indice ou disons plutôt que je vais te donner la réponse sur un plateau d'argent. La gamine se trouve dans ma chambre mais tu te doutes bien que je ne te laisserais pas l'approcher. Tu as compris.

Bien...commençons.