16 avril 2016

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Tu sais, l'amour adolescent on en pâtit, puisque la moue à deux laisse antipathique. Sers-moi deux trois verres avec empathie, moi je te serre en deux deux avec vers poétiques.

Je pourrais te décrire l'étoile de tes pupilles, te peindre les toiles d'un cosmos angélique. Mais, parlons d'un ciel bien plus philosophique, je t'amène au septième avant de repartir.

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