{Chapitre 7}

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{-Chapitre-} 7

Point de vu, Améthyste

Une fois revenue chez moi, j'entendis, quelques pas qui couraient très rapidement dans le couloir. Carry, Pedro et George, c'en était certain. Des petits cliquetis comme ceux là, c'était eux. Ces petits je les adorais plus que tout dans ce monde.

En rentrant dans ma chambre, je vis de posé, des feuilles en parchemins enroulées dans un cordon beige. M'approchant minutieusement, je pris le rouleau de mes mains tremblantes et moites. Je pris place sur mon lit aux couvertures neutres, ternes et monotones. Dépliant mes longues jambes couvertes de ma robe, je pris une grande inspiration.

Après quelques secondes à avoir fixer les feuilles jaunis, je décidais d'enlever le petit bout de corde. Observant l'écriture faites par une plume, je pus remarquer que la personne était bien éduqué. Laissant sortir un hoquetement de surprise je remarquai que c'était une lettre de Louis.

Que pouvait-il bien vouloir me dire? Une mauvaise nouvelle? Une bonne nouvelle? L'anxiété me parcouru dans tout le corps. Ne sachant pas quoi faire, je décidai de commencer à lire.

{ Ma chère et douce Améthyste. Ces derniers temps je ne pense qu'à toi.

Dans ce monde où j'ai de tant de difficulté à saisir, le vent de la destinée souffle quand on s'y attend le moins. Par moment, il a la furie d'un ouragan, ou d'autre part, à peine sentirons nous sa chaude et douce caresse sur la joue. Mais on ne peut nier leur existence, quand il vous pousse, vers un avenir inconnu et totalement libre. Mais aussi impossible à ignorer.

Je sais que je suis imparfait, j'ai commis plus d'erreur dans la dernière année, que dans toute une vie. Après plusieurs mois, j'ai réussi à arranger le tout, fixer les morceaux brisés, mais encore reste-t'il des marques, que toi seule à réussi à m'en distancer. Les eureurs étaient mal, j'ai menti, j'ai attirer des problèmes, j'ai même rendus ma famille pauvre (une chance j'ai réussi à ravoir les pièces d'or.)

Le passée est le passée et j'en suis là, maintenant. À t'en parler. Je croyais cela impossible de m'ouvrir, mais avec toi, j'ai le sentiment de pouvoir tout te dire sans soucis.

Tu es parfaite, la façon dont tes cheveux magnifiquement beaux, ondulent au gré du vent, le parfum qui en est imprimé est merveilleux. Tes yeux, noirs comme l'encre avec laquelle je t'écrit, fabuleux comme la nuit, le lune brillant à l'intérieur de tes pupilles. Tes joues et la façon qu'ils s'étirent quand tu ris. Ton sourire éblouissant, ravissant, capable de guérir n'importe quelle maladie, celui qui me rends heureux. Ton cœur et toute la grâce qui en sort, toute la beauté et le charme que tu caches à l'intérieur mettant en évidence ta joie de vivre.

La douceur de soie de tes lèvres est inévitable, oubliant tous les problèmes de la vie.

Tu illumines ma vie comme personne auparavant. Tu as pris mon cœur comme un ange descendu du ciel. Tu envahis mes rêves, tu me fais rêver éveiller, je ne peux plus suivre le cours de ma vie normalement sans toi. Nous n'avons pas passer beaucoup de temps ensemble, mais le temps que nous étions ensemble, m'a semblé une fraction de seconde, comme une rêve qui disparaît en fumer. Chaques minuscule secondes avec toi m'a combler. Je ne peux attendre de te revoir.}

Lentement j'essayais les larmes coulantes de yeux bouffis, j'étais plus qu'émue. Les mains me tremblaient. J'avais le cœur gros, d'émotion.

Comment un homme pouvait aussi bien écrire? Et aussi bien toucher le cœur d'une femme comme cela?

Je le sentais presque caresser ma joue doucement.

{Cela peut sembler fou, mais c'est moi qui est fou. Fou d'une magnifique jeune femme, toi.

Dès la soirée du bal, j'ai su que quelque chose allait ce passer entre nous. Quelque chose de fort. J'aimais la façon dont tu mettais tes mains autour de mon cou. Le frisson à ce moment m'a traverser tout le corps.

Ton nom décrit exactement ce que tu es, une pierre précieuse étincelante. Ta bonté et ton dévouement me fais chavirer le cœur.

Savoir que tu es loin de moi, me fend le cœur en milles morceaux. Savoir que peut-être tu penses a moi, me rend joyeux. Ton sourire saillant ne me quittes plus. Tu envahis chaque parcelles de mon âme, mes pensées les plus profondes.

Peut-être est ce le coup de foudre de mon côté? Je crois bien que oui. Peut-être l'est ce tu tiens aussi? J'ose l'espérer.

Je tiens sincèrement à m'excuser, pour le baiser, je ne pouvais attendre encore de toucher tes lèvres douce comme une plume. Avant le mariage nous avons pas le droit, mais ce sera notre secret. À nous.

Je ne peux plus attendre de te voir. Dans 10 jours je pars te chercher, nous irons où bon te semble. Tant que je suis avec toi, mon bonheur sera comblé.

À bientôt,

Louis x

Oh j'allais oublier, je n'ai jamais rencontrer une femme aussi parfaite, drôle, amusante, gentille, intelligente, que toi. Je veux te garder près de mon cœur, tu es magnifique, en fait, tu es beaucoup plus que cela, seulement il n'y a pas de mot pour le décrire.}

Je m'efondrai sur mon lit. Les chaudes larmes ruisselaient le long de mes joues mouillées. Mes yeux devaient être rouge comme le sang, car cela faisait de longues minutes que j'étais en sanglot. Sans savoir pourquoi. Les émotions me montèrent à la tête, et ne voulaient plus quitter mon esprit. La joie, mélanger à tout ce que je gardais en dedans depuis des lustres.

Du coup, je remarquai un autre bout de parchemin...

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Couscous! Oui couscous, ahah, vous allez bien dites moi?

J'espère que ce chapitre vous a plu! Il est court je sais... Je n'ai pas vraiment le temps pour écrire et je l'ai écris depuis un bout mais je ne le trouvais pas satisfaisant... J'ai décider de le poster pareil, dites moi en commentaire comment vous avez trouvez cette lettre et ce que ce vous pensez qui a dans l'autre parchemin ;)

Je vous aime fort xox

**oubliez pas de voter si vous avez aimer**

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