Jamais je ne vous tuerai [Undertale Fanfiction] Tome 1

Chapitre 1 : Satanée fleur !

Argh ! Mon crâne ! Où suis-je ? Je suis allongé sur ... des fleurs ? Sur des fleurs jaune ! Je m'en souviens maintenant ! Je regarde mes mains, ce sont les même qu'avant, j'en déduis donc que je suis moi et non Frisk, cela risque de poser problème. Mais d'une certaine manière cela me rassure. Je ne suis pas obligé de faire exactement ce qui est prévu ! Je souris. Je vais enfin rencontrer Papyrus, Sans, Toriel et ... Flowey ! Je l'avais oublié cette satanée fleur ! Je serre les poings. Bon ! Quand il faut y aller, il  faut y aller ! Je regarde autour de moi et je vois diverses branches et brindilles dans un coin. Je m'approche et je prends un bâton qui me parait solide et de bonne taille. Je suis prêt à aller voir cette satanée fleur ! Mon aventure commence maintenant, merci beaucoup Gaster.

De rien mon cher Django

Je fais volte-face et j'ai juste le temps d'apercevoir du coin de l'œil le visage blanc de Gaster disparaître dans la pénombre. Je comprends maintenant pourquoi c'est le personnage préféré de ma sœur.
Je m'avance vers la porte, le bâton à la main.

"Hey ! Salut gamin ! Je suis Flowey, Flowey la fleur ! Tu es nouveau dans l'underground ! Commença la petite fleur.
- Arrête ton baratin.
- Qu-quoi ? dans ce cas..."

Tout deviens noir et blanc et des pétales blancs m'entourent

"CRÈVE !!! Crie la petite fleur jaune."
Je sais que Toriel n'est pas loin. Du moins je l'espère ...
"À L'AIDE !!!"
J'ai crié de toutes mes forces
Les pétales se rapprochent.
De plus en plus.
Ils se rapprochent. Quand soudain une boule de feu vient frapper Flowey de plein fouet ! Les pétales s'effritent et disparaissent. Toriel s'approche. "Quelle horrible créature !". Si elle savait que c'était son fils, dirait-elle cela ? "Ne t'inquiète pas tout va bien, je suis Toriel, je ..."
Je lui coupe la parole en me jetant dans ses bras. Je pleure. Elle pense que je pleure parce que j'ai eu peur, mais ce sont des larmes de joie. Ils existent ! Ils existent tous !
"Merci maman chèvre !"
Mince ! J'ai dit ça à voix haute !
"M-maman chèvre ?"
"Désolé c'est sorti tout seul ..."
Toriel rougit
"Tu peux m'appeler comme ça, si tu veux mon enfant, ça ne me dérange pas."
Merci Maman chèvre, merci d'exister.