Chapitre 11

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*Ce média est une putain de coïncidence, je viens de découvrir qu' Assassin's Creed dont je suis une grande fane à été édité en livre. Et que vois-je dans le tome 6 ? Le nom du café au dessus duquel Mon perso de Mon histoire est censée vivre !!! J'ai fait des bonds de huit mètres de haut et il fallait que je le partage avec vous bon sang XD*

"_Au voleur ! Au voleur ! "

Les cris de la boulangère retentissaient dans le dos de Charlie qui détalait comme un lapin dans les rues bondées du Marché des Enfants Rouges*(C'est le plus vieux marché parisien, surement mon préféré aussi ^^ Il tient son nom de l'orphelinat qui l'organisait au départ, dont les pensionnaire portait des capes ou des robes rouges :) voilà c'était la minute historique du chapitre XD ) . Ophélie allait être encore furieuse de savoir qu'il avait failli se faire attraper pour un bout de pain, mais la faim le ralentissait. Il continuait a zigzaguer entre les passants et les calèches quand il entendis les cris d'une patrouille de police derrière lui. La situation devenait critique, quand, au détour d'une ruelle, un bras puissant lui attrapa l'épaule et l'entraina dans l'ombre. Le jeune brigand se retrouva nez à nez avec Le Corbeau. Il connaissais vaguement Maxime comme étant un vieil ami et allié de La Louve. Mais ce qui sauta aux yeux du jeune garçon, était le piteux état de l'anarchiste. Il avait un vilain coquard,  la pommette droite ouverte, les cheveux en batailles, les traits tirés et pâles et son long manteau était couvert de boue et ... de sang séché, Charlie en était quasi sûr.

"_Corbeau ? Tu t'es perdu dans les tavernes ou quoi ?! T'es dans un piteux état !
_Crois moi gamin, j'aurai préféré avoir la gueule de bois ce matin que ce qui s'est passé cette nuit ! Mais je te retiendrai pas longtemps, je suis "chassé" et je voudrait pas te mettre toi ou le reste de la bande plus en danger que nécessaire ; il sorti un petit paquet enveloppé dans du papier marron en grimaçant de douleur ; j'ai perdu une côte et gagné un œil au beurre noir pour ces quelques papiers. Assure-toi de les remettre en main propre à Ophé' ou au pire à la journaliste qui lui offre l'asile. C'est très important petit. On joue tous très gros dans cette affaire.
Charlie hocha la tête, inquiet pour Corbeau qui semblait aller de plus en plus mal. Malgré tout il fourra le paquet à l'abri dans son veston, à l'abri des regards.
_Je peux savoir ce qu'il y a dedans quand même ?
L'anarchiste lui fit un demi sourire avant de répondre :
_Il y' a une lettre de Richemonts à un Orfèvre qui se fait appeler Le Templier (*oui c'est une putain de référence à Assassin's Creed me jugez pas XD ) dans le milieu du meurtre. C'est un expert en imitation également. C'est son homme de main préféré. Cette lettre l'accuse, non, les accuse tous les deux. C'est la preuve ultime pour innocenter notre Louve préférée. Le reste c'est la bague d'un sénateur assassiné que j'ai trouvé chez Richemonts et un reçu de banque bien trop élevé pour n'être que le fruit du labeur honnête d'un orfèvre. Les filles sauront en faire bon usage. Si elles se débrouillent bien elle mettrons peut être aussi les condés sur la bonne piste pour les meurtres des danseuses, mais ce n'est pas la priorité.

Des bruits de bottent et des cris retentirent à l'autre bout de la ruelle. Le Corbeau et Charlie se retournèrent pour apercevoir trois hommes à la mine patibulaire en tenue de voyage s'approcher d'eux, l'épée au claire. L'anarchiste jura en anglais, sortit sa propre dague, une lame courte et peu esthétique mais il avait laisser sa dernière épée à Ophélie.
_Charlie, va-t-en de là ! Tu sais ce que tu a à faire ! cria-t-il au garçon resté derrière lui.

L'enfant ne se le fit pas dire deux fois. Il couru, traversa la rue et passa dans une autre ruelle en fasse de celle dont il sortait. Il escalada une pile de caisses et de tonneaux et finit son ascension sur les toits de la capitale. La dernière chose qu'il vit avant de s'enfuir par la voie des tuiles, c'est Corbeau se défendant comme il le pouvait, son long manteau noir volant autour de lui comme l'ombre de la Faucheuse autour de sa victime. Charlie ne se retourna pas une seule fois après cette vision jusqu'à l'immeuble abritant l'appartement d' Apolline. Là il laissa couler une larme, et fis un signe de croix pour l'anarchiste avant d'entrer.


Bon alors XD je sais que je n'est pas posté depuis un petit moment et que c'est presque (ou carrément) sadique de ne vous postez qu'un si petit chapitre (710 mots alors que d'habitude j'en fait au moins 1000). Mais j'avais envie de vous laissez sur un chapitre un peu triste puisqu'à partir de maintenant les choses vont accélérées ^^  Donc pas d'inquietudes, je comptes profiter des vacances pour écrire, et donc vous poster le chapitre 12 (déjà :o )  assez vite ^^ Voilà et bonne lecture. Comme d'hab, j'attend vos avis et vos remarque dans les commentaires :* bisous bisous et à la prochaine ! ;)

Une Louve à Paris [TERMINÉ] [1ere Histoire]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant