Divya.Ma "mère" a une tumeur ? Lol, et puis quoi encore ?
— Ça sort d'où ça ?
– Ben figure-toi que je me le demande aussi. Elle allait très bien jusqu'au jour où une certaine Divya décide d'entrer dans nos vies.
À ce moment là j'avais qu'une envie, c'était de l'étrangler bien comme il faut. Elle est qui pour me parler ainsi ?
— C'est mieux que tu ne dises rien d'autre, parce que je peux très bien aller dire à TA mère que c'est de ta faute si j'ai perdu mon enfant.
– Je peux moi aussi dévoiler ton pet... non GROS secret à toute la famille. Tu ne vas pas t'en tirer comme ça, sache-le.
— En parlant de secret, Liham il compte ou pas ? Ai-je sourit.
Elle a dilaté ses narines comme never puis elle est parti.
J'espère juste que William n'a rien entendu. Je suis allé dans sa chambre, il regardait un match de basket.– Elle est partie ?
— Oui.
– Pourquoi j'vous ai entendu crier comme les tantines de Château Rouge là ?
Je ris.
— T'inquiète c'est rien, bref, enlève ça j'aime pas. En parlant du match qu'il regarde.
– Eh dors.
— Noon !
Je monte sur lui et le couche sur le lit. Il déteste quand je lui fait ça. Il m'a pincé la cuisse et s'est redressé. Ce qui fait que je me suis retrouvé à califourchon et lui... ben il avait les mains posés sur mes fesses.
– Tes jolies fesses refaitent.
— C'est drôle hein ? Ai-je faussement rit.
– Ouais, très drôle même.
Je l'ai tchipé et je me suis assise à l'autre bout du lit. Je l'ai entendu sortir son téléphone.
– Regardez-la bouder, encore un bébé celle-là. En plus t'es même pas belle comme ça.
Et il a tiré mes cheveux en pensant que c'était une perruque... eh ben non ! Ce sont mes vrais cheveux, je lui ai tiré la langue.
– Allez hop ! Dans ma story.
— Hum.
– Tes cheveux on dirait du synthétique au nom.
— Tu recommences.
Il me prit dans ses bras en riant. Mon téléphone sonne, il affichait "Adama". William prit mon téléphone et répond, il mit le haut-parleur.