Chapitre 4

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Pauline : - PUTAIN MAIS ARRÊTE !

... : - Lâche la.

J'essais de voir qui a dit sa mais ma vue est trop flou. Ce qui est sûr c'est que peu importe qui est cette personne je ne le remercierait jamais assez de m'aidé.

... : - Je ne te le dirais pas deux fois.

Jason se met à rigoler. Peut-être croyait-il pouvoir me violer ou me faire je ne sais quelle autre horreur. Je me sens tellement nulle si vous saviez... Je passe mes journées derrière du noir, à repoussé quiconque m'approche,à me sentir invulnérable, à provoqué un sentiment de colère en chaque personnes qui me parle. Il a suffit d'une soirée pour que je me ridiculise. C'est fini mes airs de dure pour celui qui m'aide. Peut importe qui c'est, il vient de comprendre que je suis vulnérable, qu'avec de l'alcool on peut tout me faire. Quelle honte...

Jason : - T'es jaloux Maxime ?

Oh non... Pas lui ! Tout le monde sauf lui, pitié. Imaginez vous en train de vivre un moment horrible, si horrible que vous préféreriez mourir et que là, quelqu'un vous aide, comme tombé du ciel. Cette personne est pendant un quart de seconde la meilleure qu'il soit. Je dis pendant un quart de seconde dans mon cas. Je vous l'ai dit, cette personne me découvrait sous un autre angle or c'était Maxime. Et Maxime est la personne à qui j'exposait ma colère et ma méchanceté.

Maxime : - Je vais pas m'empêcher de te tapé si tu la lâches pas.

Jason : - Je fini ce que j'ai a faire ensuite je te laisse, premier arrivé, premier servi.

Je ne sais pas si Maxime détesta cette phrase mais il le prit par le tee shirt. Jason essayé de se débattre mais Maxime le menait largement. Jason donna un coup de tête à son adversaire et se dégaga.

Jason : - Malade.

Il s'empressa de disparaître et Maxime vint me voir.

Pauline : - Laisse moi c'est bon je peut le faire.

Il parut dégoûté et souffla. Il remit ma chemise sur mes épaules et releva légèrement mon jean. Je ne savais pas quoi dire, quoi faire. Après tout il venais de me sauvé de la folie de Jason, et lui au moins me rhabiller contrairement à d'autres. Je me demandai si je ne m'étais pas trompé au sujet de Maxime.

Pauline : - Merci...

Il me souria.

Maxime : - Tu devrais faire attention, tu n'es pas en mesure de te défendre.

Il avait raison, maintenant que j'avait ma béquille il ne m'étais plus possible d'être libre de certaines choses. Maxime passa mon bras autour de son cou et me porta. Ce réflexe m'étonna. Il venait de m'aider mais pourquoi est-ce qu'il ne partait pas maintenant ? Il n'avais pas à m'accorder d'importance.

Pauline : - Pose moi par terre !

Maxime : - Tu n'es pas en état de marcher, tu le sais très bien.

Je passa mon autre bras autour de son cou.

Pauline : - Putain arrête de bougé comme sa je vais vomir.

Je sentis remonté l'alcool et je ne pu me retenir. Maxime regarda mon jean puant et rigola.

Maxime : - Mon frère habite à deux pas d'ici. Tu as besoin de dormir.

Je n'avais pas le courage de refusé. Si je pouvait dormir je n'hesiterait pas.

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