E L L E

Chapitre 18

/!\ Ce chapitre contient une scène explicite "détaillée" si vous ne souhaitez pas la lire elle n'est pas importante pour comprendre l'histoire, pour reprendre le cours de l'histoire, rendez vous au second point de vue d'Alexis, bisouuuus

Précédemment dans ELLE

« Je n'ai pas envie de parler de ce que Dam a pu dire car on pourrait partir bien plus loin que l'on ne le voudrait et je n'ai aucunement envie que l'on se dispute une nouvelle fois, elle recule alors que j'avance d'un pas vers elle. Tout ce que tu viens de m'avouer m'a fait ressentir des émotions que je ne connaissais pas, je n'ai jamais ressentit ça pour quelqu'un, et ça me fait peur. C'est pour ça que je suis partit. Et apres ce que tu viens de dire, je ne peux que te répondre que moi aussi, je t'aime. Depuis le début. »

Alors que je continue d'avancer elle recule toujours, gardant une distance de sécurité entre nos deux corps.
Rapidement, elle se retrouve le dos contre le mur. Elle me regarde comme une proie coincée par son prédateur.

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Point de vue Alexis

Il se rapproche de moi tel un fauve vers sa proie. Je suis tétanisée, mes bras sont bloqués contre le mur et je ne sais pas où m'enfuir pour l'éviter. Il se poste devant moi, ses mains encadrant ma tête. J'ai l'impression de trembler comme une feuille devant sa posture. Je me rends compte qu'il est vraiment plus grand que moi.
Je crois réellement que mes jambes vont me lâcher d'ici quelques secondes si la tension entre nous ne redescend pas tout de suite.

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Point de vue Alexis

Il encadre ma tête de ses deux bras. Ses pupilles sont dilatées et je pourrais presque jurer que ses yeux sont noirs à l'heure actuelle.
Avec le peu de raison qu'il me reste je tente de le repousser mais il attrape mes poignets, les plaçant au dessus de ma tête à l'aide de sa main droite alors que sa main gauche remonte le long de mes hanches puis de mes côtes.
Je frissonne à son passage alors qu'il ne touche même pas directement ma peau. Ses lèvres fondent brutalement sur les miennes sans que je n'en prenne de suite conscience. Il me plaque contre le mur, presque violemment, son bassin se collant au mien. Alors que je tente de bouger il colle un peu plus son corps au mien pour l'immobiliser et je me sens rougir de la tête au pied quand je sens une bosse contre mon bassin. Une étrange chaleur se déploie dans mon bas-ventre en même temps que Matt fait glisser sa langue sur la mienne. Un gémissement incontrôlé m'échappe quand il glisse sa main sous le bas de mon tee-shirt, effleurant ma peau, la brûlant presque à cause du désir émanant de celle-ci. Sa main droite relâche mes bras pour descendre le store de la fenêtre près de nous, d'où provient la faible lumière des lampadaires, la nuit étant déjà tomber. Je rejoins mes mains dans ses cheveux les tirant légèrement, lui arrachant à mon tour un grognement provenant de sa cage thoracique. Il tape sa main à plat contre le mur en reprenant son souffle avant de m'embarquer dans un second baiser tout aussi intense.
Je bouge doucement mon bassin, ayant l'impression d'étouffer entre son corps et le mur. Un second son rauque lui échappe et je laisse mes mains tomber sur son torse. Mes doigts glisse sur sa peau hâlée et brûlante de désir. Je suis attentivement la courbe de ses abdominaux sans même avoir besoin de baisser le regard. Sans faire attention je frôle légèrement la taille de son jogging et il plaque son bassin plus fort contre le mien, me coupant le souffle. La température de la pièce à du monter d'une dizaine de degrés en quelques minutes et je crois que je vais finir par m'évanouir si ça continue comme ça.
Comme s'il entendait mes pensées Matt attrape la fermeture de ma veste et la descend rapidement jusqu'en bas avant de faire glisser le tissus de mes épaules. Il décolle son torse du mien pour me détailler et sans que je ne m'en rende compte, il passe mon débardeur par dessus ma tête. Sans que je ne puisse réagir il se colle à nouveau contre moi, nos peaux entrant enfin en contact. Sa main parcourt chaque parcelle de ma peau découverte alors qu'il dépose des baisers dans mon cou.