Chapitre 37:

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*Pdv Ki hong lee*

Je ne me souvenais de rien! Tout c'était passé affreusement lentement et pourtant je me souvenais de rien. Mis à part quelque bribe de souvenir par si par là. Sa respiration qui était de moins en moins vite, son teint pâle comme la mort, du sang partout et moins qui hurlait comme un dingue.

J'avais eu l'envie de la secouer, lui foutre des baffes pour ne pas répondre au grand Ki hong lee. Mais je n'avais rien fait. J'hurlais son prénom et pleurais comme une fillette. Qui lu crue, un grand acteur de ciné éprit par cette fille qui pourrait être n'importe laquelle de mes fans.

Mais elle n'était pas comme les autres. C'est vrai qu'elle est vraiment petite, un peu rondouillette mais c'est ce que j'aimais chez elle, car elle n'était pas une de ces putes qui auraient été à mes pieds comme les filles de sa classe. Même si elle savait qui j'étais elle était restée la même en toute circonstance. La fille gentille, jolie, intelligente et pleine de vie qu'elle était.

Avant c'est vrai que j'étais le parfait connard avec les filles, je voulais la bombe sexuel et une seule idée en tête, la foutre dans mon lit. Mais j'ai connu Aléxia et elle a changé ma vie. Un jour Thomas m'avait dit que j'avais grave changer, que je n'étais plus le connard que j'étais tout comme lui et que tout comme moi il arrivait à voir maintenant au delà du physique chez une meuf. Ce n'était pas le seul, Dylan et Will avait changé. Ils en avaient assez des pétasses sans cervelle.

Je l'aime telle qu'elle est et j'espère que elle m'aimera comme je suis, un connard, égocentrique et imbus de sa personne ; enfin si j'ai le temps de lui dire un jour...

Des murs blanc. Beaucoup trop blanc à mon goût. Si je pouvais je retaperais cette hôpital de malheurs rien que pour me défouler. Peut être du bleu ciel ou du rose bonbon pour les petits gosses. Assis sur une putain de chaise je n'arrêtais pas de ruminer dans mon coin. Plusieurs infirmières m'avaient reconnu et fessaient tout pour que je retint leurs attention. Mais j'en avais rien à branler d'elles. Tout ce qui m'apportait, c'était elle!

Je me rappelle lorsque l'on a quitté le lycée, Jennyfer m'avait demandé de prendre soin d'elle et de tenir au courant de son état de santé. Aucune des amis à Aléxia ne pouvait venir. C'était donc à moi d'être là lorsqu'elle se réveillera.

Trois heures plus tard toujours rien. Je cherchais vainement à m'occuper mes en vain. Je tournais en rond devant la salle des urgences. Personne ne me donnait de ces nouvelles et ils ne savaient rien du tout à propos de son état. Non mais à quoi sert un médecin si on ne peut pas avoir des nouvelles des gens que l'on aime.

Quelque temps plus tôt, ces parents étaient arrivés, tout paniqué. On ne leurs en avait pas donné plus de détails.   C'est après un long moment qu'ils m'avaient remarqué, comme si j'étais devenu quelque chose d'invisible. Je leurs avait raconté en détails ce qui s'était passé en détails à leurs demande. Après un long moment de silence, ils s'asseyaient sans un mot. On pouvait entendre les mouches volées.

-Monsieur et Madame Bosel?demanda une voix devant nous.
-Madame Baré, c'est le nom de son père, commença la mère d'Aléxia.
-Oui excusé moi,continua le médecin, je suis le médecin de votre fille et j'ai des nouvelles sur cette dernière...

Je ne sais pas pourquoi mais il n'avait pas l'air très à l'aise devant la présence de ces parents. Il remonta ces lunettes qui tombait de son nez avant de se racler la gorge.
-Votre fille a une jambe cassée dû au choc de la chute qu'elle a fait, un hématome au niveau de la lèvre qui guérira très rapidement et...
-Que voulez vous dire docteur?questionna son beau père.
-Je ne vais pas vous cacher que votre fille dû au choc qui a était assez violent, elle a fait un arrêt cardiaque...

Celui qui changea ma vie![En correction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant