SEX-ENEMIES [EN RÉÉCRITURE]

Part 20

(On a largement dépassé les 40K vues! Merci! Omg!♡)

-pdv de Chelsey-

Oh, c'était si bon. Ce qu'il s'est passé dans mon lit et sous la douche, oh, j'en redemanderais à l'infinie. Sentir Zack si près de moi est un délice. Le sentir en moi et parsemer des étincelles de plaisir dans mon corps est un régale. Il baise tellement bien, plus clairement dit. J'ai adorée le toucher quand il était au téléphone avec son patron, j'ai pris ma revanche et je suis plus que fière. Ça lui apprendra à faire ce genre de choses. Ah, je suis aux anges. J'ai déjà oubliée les aventures avec ce connard de Damien et cette salope de Cacilie. D'ailleurs, la baise avec Zack me donne de l'assurance et de la confiance en moi, je devrais peut-être plus m'imposer et m'affirmer. Après-tout, je ne suis pas leur souffre douleur. Non. Ça ne se passera pas comme ils le veulent. Je vais leur dire à qui ils s'attaquent. Et je suis libre de coucher avec qui je veux, et de faire ce que bon me semble. Je regarde l'heure et je vais vite ranger la maison avant que ma mère ne rentre. J'enfile un pyjama propre et range ma chambre en ramassant ma tenue sexy qui à tant plu à Zack, j'en suis plutôt fière. Un sourire coquin m'échappe en me rappelant les événements précédents. C'était tellement hot, miam. Je ramasse la serviette de Zack et la renifle un bon coup avant de la mettre dans le panier à laver avec les autres habits. Je me coiffe en chignon avant de descendre au salon en chantonnant, toute enjouée. Je range mon bordel et tout est comme neuf! Je me sens comme une nouvelle personne, le sexe peut soudainement changer quelqu'un c'est dingue. Bon, j'inspire un grand coup et tente de paraître tout à fait normale auprès de ma mère qui rentre dans moins d'un quart d'heure.

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After Night

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Je suis dans le bus pour me rendre au lycée. Je redoute tant ce moment, déjà, je suis en retard d'une heure, la grosse merde. Je n'ai pas eu assez d'argent pour le taxi et ça me fait chier. Bon, l'avantage d'être en retard c'est que les personnes du lycée y sont généralement déjà tous là-bas, donc je sens moins les regards oppressés sur moi. Je suis assise contre une vitre et je lis un livre, j'ai trouvé une bonne méthode pour me détendre avant ce stress infernal. Je descends à mon arrêt, rentre dans le lycée et passe à la vie scolaire pour validé mon absence d'hier et pour déclaré mon retard. Je me rends dans les couloirs pour la salle que j'ai en deuxième heure et toque à la porte, le prof m'autorise à rentrer. Je rentre, et là, tout le monde se tait et je sens des regards oppressés sur moi, c'est déstabilisant et je crois que je ferais tout pour faire demi-tour en courant mais je ne peux pas. En plus, je n'ai pas chercher à cacher mes suçons ce matin, j'étais déjà assez en retard comme ça.

- Bonjour monsieur, désolée pour le retard, dis-je en lui montrant mon carnet.

- Bonjour mademoiselle Palmer, bien, aller à votre place.

Je m'installe à ma place et je sors mes affaires, baissant un peu la tête, tentant d'ignorer les regards et les murmures autour de moi. Je m'efforce d'écouter le cours mais c'est très difficile. Une heure passe et malheureusement c'est l'heure de la récréation, oh putain. Le moment le plus redouté. Aie. Tout le monde rangent ses affaires bruyamment et sort précipitamment de la salle, je reste en retrait et sors la dernière. Je marche en direction de mon casier en passant par la cour et on dirait que je suis attendue. J'entends mieux les remarques sur mon propos. 

- Dis-donc, Chelsey, tu t'est amusée hier, t'a pas chômé, dit un copain de Brian.

- Ouais, crachais-je en marchant.

Ils sont vraiment tous relous. Je n'ai même plus envie de me prendre la tête alors je vais leur répondre courtement afin de soulager leur besoins. J'arrive à atteindre mon casier sans problème jusque là et je fais ce que j'ai à faire, échangeant mes affaires en fonction des cours. Quand je referme mon casier, je m'aperçois que Cacilie se tient au fond du couloir en me regardant très mal avec ses autres amies. Je suis prise d'un courage et d'une haine incroyable et je boue à l'intérieur de moi, je décide de prendre mon courage à deux mains et je marche d'un pas décidé et déterminé en sa direction. J'ai un peu peur, mais il faut qu'elle comprendre qu'on ne peut pas me gifler et m'accuser faussement sans que je réponde. Dès qu'elles réalisent que je marche en leur direction, elle me laissent un passage et haussent les sourcils avec interrogation. Une fois arrivée au niveau de Cacilie, je me lance, remplie de colère.