Part 41

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(Terriblement désolée pour ce retard très très long... Voici le chapitre tant attendu, dont je suis assez fière tout de même, je m'excuse d'avance pour la fin ahaha. Je passe mes examens pour mon diplôme la semaine prochaine donc je vous souhaite de bonnes fin de vacances et bonne chance pour tous ceux qui passent leurs examens!)

-pdv de Zack-

Nous sommes proches de la fin. J'ai offert des informations cruciales aux forces de l'ordre. Il est temps d'y aller. C'est le jour J, Zack. Pas question d'être faible. Jusque là j'ai réussis. Prêt ou pas, c'est maintenant. Je sors de la voiture, garée dans le parking de la boîte. Puis je me dirige, vêtu de mon costard, dans les bureaux. Je vais dans le miens, pour commencer. Et me renseigne rapidement sur les numéros en attentes et celles qui sont en exportations. Ces femmes devraient finir par échapper à leur sois-disant avenir prédit. Pour mon sort, c'est la mort, ou la prison. Mon choix est déjà fait et déjà en route. Je quitte mon bureau, sans rancune, et je toque à celui de mon patron.

- Entrez, entendis-je.

J'entre doucement, affichant un sourire sarcastique, et je referme la porte derrière moi.

- Ah, Zack! Le plaisir de vous revoir, dit-il.

Je me tourne vers lui. Lui serrant la main. Ordure.

- Je vous offre quelque chose? propose-t-il.

- Un verre de whisky s'il vous plaît, dis-je assez froidement. 

- Bon choix. Je vous suit.

Il nous serre deux verre de whisky. C'est mon dernier verre. Autant le boire avec conviction. Nous nous asseyons dans ses fauteuils et une bataille de regards se lance. Ses fauteuils me rappellent la signature du contrat. Et je suis là, aujourd'hui, pour le rompre. Quel culot. 

- Voudriez-vous me parlez de quelque chose, Zack? Je suppose que vous n'êtes pas venus simplement pour décorer, sourit-il ironiquement.

- Effectivement. Je dois vous annoncer des tonnes de nouvelles. Mais je vais le faire en histoire, vous me le permettez?

- Allez-y Zack, je vous écoute.

Je prends une grande gorgée de whisky et une bonne bouffée d'air. Un grand courage qu'il me faut là. 

- Premièrement, vous vous souvenez de la signature du contrat, je suppose? Lorsque je n'avais que 15 ans, commençais-je confiant.

- Oui, je m'en souviens comme si c'était hier. Pourquoi?

- Laissez-moi terminer, je vous prie. Aujourd'hui j'ai 21 ans, ça fait 6 années que je bosse ici, et je n'ai pas eu de vie en dehors de cette boîte. J'ai dû violer des milliers de femmes qui n'avaient rien demandées. Bon, au début, je me disais que c'était le boulot et que c'était comme ça.

Laisse moi continuer mon monologue, connard. Son visage commence à être perplexe, ça en est presque jouissif pour l'instant.

- J'ai pratiquement donner corps et âme pour cette société de merde, il faut se l'avouer. Mais malheureusement, je suis tomber amoureux au cours de cette aventure. Ce n'était pas prévu, et croyez-moi je ne l'ai pas demander, comme ses millions de femmes devenues esclaves sexuelles contre leur gré. Avez-vous déjà été amoureux, monsieur?

Son visage est décomposé. Attends, ce n'est que le début mon coco. A mon tour de te manipuler et de te rendre fou.

- Euh... Non. A quoi jouez-vous, Zack? fronce-t-il les sourcils, crispé.

- Ne me coupez dans ce si beau discours. Cette fille, ce n'était pas Cacilie, malheureusement pour vous, et pour elle, ce n'est pas elle dont je suis fou. Vous savez, quand j'étais gosse, je n'ai jamais reçu d'amour, même celle que j'aime ne m'a pas donner autant d'amour, mais suffisamment pour que j'en sois accro. Heureusement, et je remercie Dieu chaque jour, vous n'avez pas mis la main sur elle. Car les images que j'ai pu visionner, j'étais malheureux pour Cacilie, mais je préférais que ça tombe sur elle, c'est méchant. Mais pas aussi dégueulasse ce que j'ai pu faire ici.

SEX-ENEMIES [EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant