SEX-ENEMIES [EN RÉÉCRITURE]

Part 13

(Merci beaucoup pour les 5K, je ne sais quoi faire pour vous remercier.♡)

Et je passe aux messages suivants.

"Hey Chelsey! Si tu veux un plan, je suis la. Appelle-moi, je suis libre. J'ai besoin de me vider, surtout que tu m'a l'air pas mal dans le domaine."

Je soupire. Quelle débilité. Message suivant.

"Moi aussi je veux sentir mon pénis dans ta bouche et mon gland caresser ta gorge."

Pourquoi ces rumeurs ont-elles eu lieu? J'ai envie d'éclater mon téléphone contre le mur.

"Je passe commande! Je voudrais une fellation et une pénétration dans ton vagin. S'il vous plaît, mademoiselle Palmer la cochonne."

C'est de pire en pire, je les lis tous d'un coup, je ne sais pas trop pourquoi, mais je les lis.

"Puis-je avoir la permission de te baiser à ton retour?"

"Je voudrais la même chose que Brian!"

"Oh oh, petite cachottière. Tu me tentes bien, maintenant. Quand tu veux, ma belle."

"J'ai l'envie de te traiter de pute, mais sachant que tu ne te fait pas payer, je peux t'appeler salope?"

"Ma bite t'attends avec impatience."

J'ai enfin fini de les lire... C'est un cauchemar, dites-moi que c'est un stupide rêve malsain. Dites-moi que je suis en plein rêve, pincez-moi. Je les supprime et me lève, lâchant mon téléphone sur mon lit, je me rends dans ma salle de bain, je m'enferme à clefs et me déshabille entièrement puis entre dans la douche. J'allume l'eau, me mouillant de la tête aux pieds. Je ferme les yeux et penche ma tête en arrière, mouillant mes cheveux, recrachant l'eau par la bouche. Que c'est bon une bonne douche... Je me savonne, me lave les cheveux, me rince et sort, me sèche. Je me met en pyjama et m'attache les cheveux. Ma mère frappe à la porte.

- Oui, dis-je?

- Je peux entrer?

- Euh, oui.

- Merci, dit-il en entrant.

Je lui souris faiblement, ne montrant aucune émotion de ce qui m'arrive. Elle ne peut pas savoir cet acharnement sur moi, parce que ça salit déjà assez mon image comme ça. Ma mère me verrais autrement et je ne veux pas qu'elle est un doute sur moi et sur ses putains de rumeurs.

- Désolée pour la punition, mais je devais le faire, au fond de moi je trouvais ça utile. 

- T'inquiète pas pour ça, maman.

- Ce n'est pas pour ça que je m'inquiète... dit-elle en s'asseyant au bord de mon lit.

Je m'assoit à coté d'elle, récupérant mon téléphone par peur de nouveaux messages entrant lisibles.

- Je m'inquiète pour toi. Dit-moi, ça va en ce moment?

- Oui, ça va, maman, souris-je.

Non, ça ne va pas tant que ça. 

- Mh. Tu me le promets?

- Oui.

- Le lycée, ça va?

- Oui, souris-je une nouvelle fois.

- Ce camarade, tu le connais?

- Qui ça?

- Celui que tu as frappé.

- Ah, euh, ouais.

- Qu'a-t-il fait pour mérité ça de ta part?