SEX-ENEMIES [EN RÉÉCRITURE]

Part 16

(On a dépassé les 18K, c'est énorme omg! Thanks you very much!
Avertissement: un lemon vous attends dans ce chapitre n°16.
+ note en fin de chapitre, ne la zapper pas, merci!)

J'ouvre les yeux quelques minutes plus tard, en clignotant des paupières lourdement. Je suis complètement sonnée... Je me touche le front et plisse les yeux, je remarque que je suis dans la chambre de Zack. Plus précisément dans son lit. Je suffoque un moment et me regarde, je suis habillée. Bon, tout va bien. Il n'a pas profité de la situation. Mais que s'est-il passé? Putain... Je me redresse tant bien que mal et j'ai un mal de crâne horrible. Je respire lentement et je me lève difficilement, quelle bagarre. J'ouvre la porte et entre dans son salon, il est au téléphone. Merde, je risque de le déranger. Mais la conversation m'intrigue, alors je me retrouve à l'espionner. Ce que je fais rarement, jamais en faite. Qu'es-ce qu'il me prends?

- Bon écoute... [...] Oui, je comprends mais elle n'est pas en assez bon état pour le voyage. [...] Non, elle est inférieure à ce qu'on exige. [...] Très bien. [...] Oui, d'accord. Mais ça n'empêche qu'on ne peut pas la prendre. [...] Oui, je l'ai effectué correctement. [...] Prenons plutôt la numéro 564 pour ce voyage là. [...] Oui, elle est similaire. [...] Très bien. Tenez-moi au courant. [...] Merci. Au revoir.

Puis il raccroche. De quoi pouvait-il bien parlé? Aucune idée. Ça doit être pour son travail, il avait un ton de businessman. J'avoue que c'est assez sexy... Rooh, Chelsey! Ce n'est pas le moment de penser à ça, enfin! Je décide de revenir et de faire comme si je n'avais rien entendue. C'est mieux. 

- Hum, que fais-je là? dis-je gentiment.

- Oh, Chelsey. Tu t'es réveillée, se tourne-t-il pour me faire face.

- Comme tu peux le constater, souris-je faiblement.

- Tu veux que je te raccompagne chez toi?

- Eh bien, j'aimerais que tu m'explique qui s'est passer, pour commencer...

- Oh, l'autre imbécile t'a frappé jusqu'à ce que tu devienne inconsciente et il a finit par partir de lui-même, et je t'ai simplement amenée ici pour te soigner.

- Je vois. C'est gentil de ta part. Mais pourquoi n'as-tu pas prit ma défense jusqu'au bout?

Et... Il ne dit plus rien. Oh, Zack! Je te parle! Qu'es-ce qu'il lui prends, sérieusement. 

- Hum! dis-je au bout d'un certains temps.

- Mh, oui?

- Je t'ai posé une question.

- Oh, euh... Tu devrais rentrée chez toi, Chelsey.

- Pas avant que tu me répondre.

- Je ne serais pas si sûr que ça à ta place, ton portable n'a pas arrêter de vibrer, je suppose que ta mère s'inquiète, me sourit-il avec fierté. 

- Oh, ben dis-donc! Ça t'arrange.

- Non, c'est juste que tu devrais rentrer chez toi, maintenant que ça à l'air d'aller mieux.

- Qui t'a dit que j'allais mieux? crachais-je.

- Eh bien... J'avoue que, personne. Mais si tu ne va pas bien, je peux t'aider.

- Comment ça, m'aider? fronçais-je les sourcils.

Et il se rapproche de moi. Rapidement. Et m'encercle autour de lui, m'attrapant violemment les hanches pour coller nos bassins et nos nez se touchent, il se mords la lèvres. Oh, mon dieu.

- Comme ça, sourit-il perversement.

- Je croyais que je devais rentrer chez moi, riais-je.

- Oh, je t'en prie, Chelsey... Nous n'avions pas fini ce que nous avions commencer tout à l'heure.