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J'entre dans ma cabine provisoire elle est spacieuse le parquet est exactement pareille que la porte marron très sombre, le plafond et les mur sont rouge terreux il y'a un lit deux places avec des draps rouge sombre et des oreiller noir, une commode et une armoire de la même couleur.

Trois hublots sont disposés alignés avec environ 1m d'écart chacun sur le mur coter mer.

Il y'a une porte au fond la pièce surement la salle de bain.
Je m'assois sur le lit et je décide de faire un point sur tous ces événements.

Alors pour commencer ce chien de Akainu à interrompu mes recherches puis ces enfoirés en détruit mon bateau sans lui je ne peux naviguer donc je perd du temps et comme ci ça ne suffisais pas j'ai perdu la trace de celui que je recherchais.

Me voilà donc sur le bateau d'un Empereur, tous cela n'a aucun sens.

Et pour couronner le tous je commence à avoir faim.

Il est seulement 18h40 je vais avoir le temps de chercher la cuisine.

Je traverse les couloirs sombre un par un et je finis par déboucher dans un couloir illuminer par des lampes à huiles suspendus au plafond.

J'entend des rires et les claquements des couverts contre les assiettes émaner de la porte à ma droite.

Enfin.

J'entre.

Tous le monde s'arrête de parler et tourne la tête vers moi.

Une personne m'interpelle.

-Salut je m'appelle Thatch. Il fait une révérence.
-Venez je vais vous servir. Il me regarde de haut en bas.
-Mademoiselle. Il me sourit

Je hoche la tête en signe d'acquiescement.

Je prend l'assiette qu'il me tend.

-Voulez vous vous assoir à mes côtés ?

-Non merci je préfère mangé dehors.

-Comme tu veux. Il me fit encore un grand sourire.

Je sort et je m'approche des barrières qui me sépare de la mer. Je commença à manger, la nourriture est excellente.
Une fois fini, je dépose l'assiette à mes pieds et je lève la tête pour observer le ciel et les étoiles.
Un courant d'air passa je ferma les yeux.

-Le ciel est vraiment beau ce soir.

Je me retourne et vois un jeune homme avec des taches de rousseurs.

Pendant quelques secondes je le regarde, l'analyse.

Il prend la parole.

-Je m'appelle Ace.

Il sourit.

Sans me contrôler je réponds.

-Je m'appelle Aoï.

Et je lui rendis son sourire.

Et je lui rendis son sourire

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Au cœur d'un champ de bataille...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant