Le monde des rêves, ce monde mystérieux plein de choses étonnantes. Certains le perçoit comme juste monde irréel, lié à notre imagination, réaction de notre corps pour récupérer de l'énergie... Mais d'autres, le perçoit soit comme un fragment d'une...
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J'étais dans une sorte de classe mixte qui était comme en sortie d'activité : on marchait en groupe dans la ville pour rejoindre une destination que je ne connais pas. Il y avait des nuages mais il ne faisait ni froid ni chaud. J'étais avec Marie, mais je ne lui parlait pas ou pas beaucoup. Il y avait aussi une fillette avec des cheveux mi-courts noir qui semblait avoir tout juste 9 ans.
Bizarrement, cette fillette semblait me connaître comme une très bonne amie, alors que je ne la connaissait même pas. Pendant la marche, elle venait me voir pour me rappeler de temps en temps en souriant, que j'avais torturer certains élève de la classe alors que je n'avais aucun souvenir de ces faits. Mais par politesse, je lui répond positivement à ses rappelle.
Puis, tout à coup le groupe s'est arrêté et le prof qui nous encadrait nous passe un sac rempli de protège slip usagé dont le sang était violet... Au début, je ne savais pas trop ce qu'on devait faire alors je me suis un peu promenée dans le coin avant d'aller voir la fillette.
Tout à coups, sans que je le sache moi même pourquoi j'avais fait ça, je saute comme un loup sur la fillette et essaye de la plaquer au sol. La première chose qui m'avait vraiment surpris, était sa très grande force anormale pour me résister. Puis elle s'est mis à rire d'une joie extrême, contente que je viens "m'amuser avec elle".
Puis en une fraction de seconde, ses yeux ont mystérieusement changé de couleur : ses pupilles sont devenues d'une jaunes tellement intense (comme celui d'un loup) et ses blancs d'oeil qui sont devenues noirs font encore plus ressortir la couleur de ses pupilles. Mais malheureusement, le prof fini par nous gronder et nous force à se séparer. Elle rejoint alors ses autres amies, mais continue de temps en temps à me regarder de ses nouveaux yeux accompagnés d'un sourire.
Ensuite, directement après ça, le groupe reprend sa route mais je me rend compte qu'en fait, je n'avais rien fait de l'activité. J'ai alors demandé aux dernières filles qui étaient restées sur place de me passer le sac du protège slip en question. Je ne sais toujours pas pourquoi j'avais fait ça mais... Quand les filles m'ont passé le sac, j'en ai sorti un protège slip avec un grosse tache violet que j'ai un peu décoré avec un feutre violet, avant de le mettre dans ma bouche...
Il n'y avait bizarrement pas d'autres goût que le goût du coton (et heureusement). Ce que je devais faire lors de l'arrêt fait, j'essaye ensuite de suivre/rejoindre le groupe. Mais malheureusement, il était trop tard : j'ai perdu le groupe de vue. Cependant, j'ai réussi à les suivre jusqu'à dans un vieux et minuscule salle souterrain qui ressemblait à un parking de 2 places.
Il y avait une fenêtre très sale qui donnait sur une route de tunnel qui descend sous la salle où j'étais. Malgré la toile d'araignée qui est restée intact, j'avais cru qu'ils sont passés par là. J'ai alors ramasser un bout de carton pour nettoyer un minimum les saletés, les grosses taches dégueulasses sur les carreaux.
Après quelques secondes de nettoyage, je ne rend compte qu'en faite il n'y avait pas carreaux sur cette ouverture et la saletée que j'étais en train de nettoyer volait dans le vide... Je fini alors par passer par cette ouverture malgré les tâches volant qui sont restés, et j'ai continué mon chemin sur la route descendant.
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J'étais cette fois-ci, sur une route d'une ville abandonnée. J'étais devant un bâtiment un peu près intact que je m'apprêtais à y entrer. Une fois à l'intérieur, il y avait un homme et une femme âgée d'une trentaine d'année qui était en train de discuter. L'endroit n'était vraiment pas très grand : il n'y avait que le couloir d'entré et la salle où ces personnes étaient.
J'étais devant la porte de la grande salle dans le couloir quand tout à coup, deux hommes armés avaient pénétré dans le couloir. A ce moment là, un vieux fusils de sniper est apparu dans ma main droite. Je m'empresse alors de pointer le bout qui touche la tête d'un des hommes tellement le fusil était grand et le couloir petit.
Mais dès que j'appuie sur la gâchette, aucune balle ne sort, mais juste des particules de poussières. J'ai alors appuyé encore une fois la gâchette et la même chose se produit. Bizarrement, ses hommes attendaient patiemment que je tire sans montrer d'opposition. Je leur ai alors demandé de me laisser le temps de le réparer car je veux utiliser un fusil de sniper avant de mourir.
Ses hommes passent alors leur chemin et vont pour s'occuper des deux personne dans la pièce tandis que j'essayais de réparer ce fusil. Mais je me rend vite compte que c'est impossible de le réparer. Pendant que ces hommes étaient occupé par les autres, je jette alors le fusil par terre et en profite pour me barrer.
