Le monde des rêves, ce monde mystérieux plein de choses étonnantes. Certains le perçoit comme juste monde irréel, lié à notre imagination, réaction de notre corps pour récupérer de l'énergie... Mais d'autres, le perçoit soit comme un fragment d'une...
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J'étais comme dans une sorte de petit entrepôt avec beaucoup d'autres personnes (environ 10). On semblait être dans un contexte de survie : je sentais comme si on était lié par des liens quelconques, comme si on était une famille reconstituée pour survivre. Je sentais aussi un certain respect qui règne dans le groupe.
On était en train d'attendre tranquillement, quelques uns debout contre le mur et d'autres assis. Il me semblait qu'on était en train d'attendre des personnes qui sont allés chercher un de nos membres disparu. Après de longues minutes, je me suis mis a chercher et préparer une arme physique dont je ne me souviens plus c'était quoi. Quelques autres me suivaient dans cet élan.
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J'étais avec 2 hommes issus du même groupe que tout à l'heur. L'un avait environ 20 ans et l'autre environ 25 ans. On était comme partis en éclaireur aux frontières de notre campement. On était tous équipé d'un "tekko kagi", une arme de ninja composé de plusieurs griffes assemblées en patte d'ours. Quand je regarde de plus près, mon tekko kagi était bizarrement un peu plus grand, plus propres et plus résistant que le tekko kagi des deux hommes.
Je sentais à ce moment là que tous les trois, nous n'étions pas humains : c'était un sentiment de bestialité, comme si on était des loups garou sous forme d'humain. Ces deux hommes malgré leur carrure, ne disent pas un mot et semblait même attendre mes ordres et me suivirent.
Puis tout à coup, je me suis mis à escalader les deux grillages qui entouraient notre campement, suivit des deux hommes qui étaient là. C'est là que je me suis rendu compte que ça donnait sur du vide car on était sur une petite falaise. Mécaniquement, je me suis balancée et à atterris dans une sorte de petite poche dans la falaise. Toujours suivi des deux hommes, je me met sans savoir pourquoi, à creuser le rocher dans l'idée de faire un post d'observation tandis que la nuit arrivait.
