Chap 16 Nous serons toujours près de toi

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Fleur


Colin a pris sa journée spécialement pour être auprès de moi. Ce geste me fait plaisir. Mais le mot qu'a laissé mes parents, me revient comme un boomerang. Je me décide à le lire. je m'installe sur un banc.  Colin est près de moi, son bras au tour de mes épaules


Chère Fleur, Cher Mathieu

A l'heure où lirez cette lettre, nous ne serons plus de ce monde.

On vous demande pardon.

Fleur, on sait que tu vas vivre des moments durs en reprenant l'éducation de ton frère.

S'il te plait, ne te culpabilise pas pour l'appareil photo. C'est notre cadeau pour tes 18 ans. Ça nous a fait très plaisir aussi. Sache aussi que ton frère a aussi participé avec son petit boulot de coursier. Qu'il a fait durant l'été précédent tes 18 ans.

Il n'a jamais voulu te le dire. Fierté masculine.

j'aurais voulu écrire plus, mais le temps nous manque. je penserais toujours à vous deux mes enfants chéris

Je vous aime , maman .


Je ris nerveusement, mais je suis bouleversé. Je ne savais pas pour mon frère.

Je souris dépitée.

Il y a un post-scriptum


Ma chérie, c'est papa.

Je suis si fière de toi. Trouve un homme qui sera te combler comme moi j'ai aimé ta mère.

Ne reste pas sur le passé et construis ton avenir.

Je t'aimerais toujours, papa

Fils prend bien soin de ta sœur.


Les larmes se déversent. Cette lettre me bouleverse.

Même au moment où ils savaient qu'ils allaient mourir, ils ont pensé à nous.

Je m'accroche à la veste de Colin, et je n'arrête pas de pleurer. Cette chaleur qu'il dégage me fait un bien énorme.


« Colin : Tu veux rentrer ? Me dit-il avec douceur.

Fleur : Je veux marcher... Oh, j'ai oublié, je n'ai pas appelé mon patron...

Colin : Ne t'inquiète pas ça. Ton frère a fait le nécessaire et tu peux prendre le temps qu'il faut.

Fleur : oh. D'accord. »


Nous sommes allés nous promener tranquillement vers Central Park et nous nous sommes installés près d'un gros arbre.

Nous nous allongeâmes l'un face à l'autre. Colin resserrant son étreinte sur moi. Je peux sentir son odeur sentant la sécurité et cette chaleur m'apaise.


« Fleur : Merci, pour tout. Merci d'être là »


Je m'approche de lui et l'embrasse sur le bord des lèvres. Alors que je vais pour m'éloigner, il me sert encore plus près de lui et continue notre baiser. Surprise, j'entrouvre la bouche dont il profite pour rentrer sa langue dans ma bouche ,  jouer avec la mienne et chatouiller mon palais. Cet effet me fait gémir et frissonner. Il me fit basculer sur le dos. Et commence à me caresser sous mes vêtements tout en me léchant le coup et aspirant ce dernier.

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