Le lycée des vampires

Chapitre 37 : Réveille en douceur

Je me réveillais dans les bras de Ren le lendemain matin. Il n'était pas réveiller et je le regardais endormi.  On aurait dit un enfant dormant paisiblement au côté d'une mère invisible. Il avait l'air si paisible que je ne pu m'empêcher de jouer avec l'une de ses mèches.  Soudain je sentis une main le stopper dans mon élan.  Je regardais Ren et je le vis réveiller. 

- Je t'es réveillé ?
- Non cela fait au moins 10 minutes que je suis réveillé.
- Alors pourquoi tu n'as pas ouvert les yeux ?
- Je voulais voir ce que tu allais faire si tu voyais que j'étais encore endormi...  Et ça a marché !
- Abruti !

Je commençais a rigoler et il fit de même quand soudain il me prit dans ses bras et il me serra contre lui.

- Hein ? Mais Ren,  qu'est-ce qu'il y a ?
- Je me rend compte que j'ai de la chance de t'avoir rencontré...  Si tu n'avais pas été là je n'aurais jamais pi être aussi heureux et je n'aurais pas pu continuer a rester zn vie si tu ne m'avais pas défendu contre le directeur et Annica...
- Ren...
- Et moi, pauvre fou,  je ne m'en rends compte que maintenant !

Il mit alors sa tête dans le creux de mon cou. Je lui caressait les cheveux tout en lui parlant :

- Tu sais...  Si je ne t'avais pas rencontrer je serais parti dans un autre lycée que celui là mais j'ai voulu rester au départ pour Annica. Après quand je t'ai rencontré j'ai su que je voulais rester ici pour te connaitre et te dire que je t'aimais...
- Shizou...
-  Quoi ?
- Tu es vraiment trop adorable !

Je commençais a rougir puis il m'embrassa.

- Je crois que l'on devrait s'habiller ça va bientôt être l'heure des cours...

Il acquiesça puis je pris mes affaires et je m'habillais.  Je pris aussi mon sac de cours et je rejoignis Ren en bas des escaliers. Soudain je vis Annica arriver vers nous. Elle s'arrêta a quelques mètre ,  me faisant comprendre qu'elle ne l'approchera jamais.

- Je dois y aller,  on se voit plus tard ?
- D'accord ma belle...

Il m'embrassa et je partis rejoindre Annica.

- Tu m'en voudrais si je te disais que je ne j'appréciais pas.
- Je pourrais jamais t'en vouloir Annica,  tu es comme une sœur  pour moi.

Elle esquissa un sourire quand soudain la sonnerie retentit.

- Bon, on y va Annica !
- Je te suis !

( Désolé pour le retard le prochain chapitre sera peut être posté demain.
Bonne nuit mes petit Okami )