Les gens je viens de me rendre compte de mon retard impardonnable mon dernier chapitre date du 7 juillet 2017 JE SUIS DÉSOLÉE J'AI AUCUNE EXCUSE
« Hey, Swander ?
— Ouais ?
— Je peux te dormir dessus ?
— Je suis quoi, un coussin ?
— T'en seras un si tu dis oui.
— Nan.
— Allez, steuplé ! Vous les filles vous avez déjà des coussins avec vos cheveux de 30km, moi nan !
— Laisse toi pousser les cheveux alors ! Des petites bouclettes, comme Ashton !
— Si je me laissais pousser les cheveux, jamais j'aurais des bouclettes !
— Moi j'ai des spaghettis pas cuits comme cheveux alors profite des tiens tant que tu les as.
— Tu rigoles ? Ils sont tous brillants tes cheveux.
— Ils sont gras, Hemmings. Qu'est-ce que tu fais ? NAN ENLÈVE TA MAIN !
— Ça va, ils sont pas si horribles.
— Hm.
— Allez, Andy !!
— Demande à la femme de tes rêves Willow, je suis sûre qu'elle dira oui !
— Fais pas la fille jalouse et donne moi ton épaule.
— Je suis pas jalouse, qu'est-ce que tu me racontes ?! Je veux pas de tes pics jaunes sur mon épaule !
— Des... des pics jaunes ? Tu sais à quel point c'est difficile d'entretenir ces pics jaunes ?
— Regarde mes spaghettis, c'est encore plus difficile ! Et imagine les pics violets de Michael ! Comment tu entretiendrais ça, hein ?
— Compare pas mes pics aux pics de Michael !
— Bon, tu sais quoi ?
— Quoi ? »
Andy me regarda et baissa l'accoudoir d'un coup, sans prévenir. Il tomba une seconde fois sur mon pauvre coude et je mis à crier de la manière la moins virile possible.
« Salope !
— Je t'aime aussi !
— Ça fait mal !
— C'est le but, idiot !
— Mais aïe !
— J'aime tes arguments, dit elle.
— Pour la peine je te fais la gueule !
— Oh nan... dit-elle sarcastiquement. Oh non je vais pleurer.
— Beh.
— En plus tu m'as déjà dormi dessus.
— Quand ?
— Quand Ashton était là.
— Ah.
— Donc je te souhaite une bonne nuit loin de mes cheveux gras ! »
Je haussai les épaules, prétendant que ça ne m'affectait pas, mais au fond j'avais hyper envie de lui dormir dessus, aussi bizarre que ça en avait l'air.
Elle regardait au dehors du hublot, le ciel et les nuages, et moi, comme un con, je la regardais elle.
Elle avait un tout petit nez, des cheveux noir comme du jais, des yeux bleu comme le ciel qu'elle regardait. Elle avait des minuscules tâches de rousseurs qui parsemaient son nez, et ses lèvres et ses joues étaient roses.
Je fus sorti de ma rêverie quand elle me dit :
« Tu sais que je te vois me fixer ? »
Je sursautai légèrement et fis comme si je ne voyais pas de quoi elle parlait.
« Hein ?
— Les fenêtres, en fait, ça reflète ce qu'il y a en face de –
— Merci pour la leçon !
— Nan, la leçon c'est : fixez pas quelqu'un quand vous êtes en face d'une fenêtre.
— Qui te dis que je te fixais ?
— ...La fenêtre. »
Je souris et m'avouai vaincu.
« Ok, t'as gagné. Pour la peine, t'as le droit de me laisser dormir sur ton épaule !
— Robert, calme tes hormones, je t'ai dit.
— Mouais. Bonne nuit ! »
Alors, juste pour l'embêter, j'ai relevé l'accoudoir et j'ai posé ma tête sur son épaule. Elle n'a rien dit. Et je ne sais pas ce que c'était, mais ça m'a donné une sensation de légèreté, comme si un poids se soulevait soudainement de mes épaules (et par extension se posait sur la sienne).
Puis bien sûr, après quelques minutes de calme, une vague de chaleur me tomba dessus et je fus contraint de me relever. Andy tourna la tête vers moi :
« Quoi, mon épaule est trop osseuse ?
— Nan, j'ai juste chaud.
— Tu rigoles ?
— Nan, pourquoi ? »
Je commençai à enlever mon pull (bien sûr que j'ai chaud) et celui-ci s'accrocha à mon t-shirt qui remonta un peu avec. Après l'avoir retiré, je souris en voyant qu'Andeleria avait retourné la tête, détournant son regard de mon ventre (jalouse des tablettes de chocolats).
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Plane Journey // l.h
Fanfiction"J'étais au siège 41A, lui au 41B. On ne s'était jamais vraiment parlé. J'imagine que ce sont les chansons de nos playlists qui nous ont rapprochés." Un trajet de 15 heures de Sydney jusqu'à Paris en passant par Bangkok pour un voyage scolaire. ...
