L'entrée fut plus évidente que ce qu'elle ne laissait présager. Les lieux, eux, ne semblaient pas aussi abandonnés, pas autant oubliés que ce que j'aurais voulu appréhender. Les cadavres de bouteille s'accumulaient à hauteur d'un nombre incalculable. Les souvenirs de soirées s'effaçaient au profit de gisants, de marchands, de véritables commerçants.
Je suivi les indications de mon mystérieux interlocuteur. Mon téléphone vibra, me signalant un message. Il était là, il était venu. Il me demanda à quel niveau de mon périple j'étais parvenu, tout seul. Il me trouva, et m'amena dans la pièce que j'avais tant convoitée.
Je n'ai pu m'empêcher de lui demander pourquoi un tel retournement de situation, pourquoi était-il venu m'aider.
VOUS LISEZ
Cent douze mots sur la Seine
Short StoryIl n'attendait rien. Il est arrivé. Deux univers s'affrontent. Rien ne va plus, ne misez plus. • Pour un trajet de dix minutes, tout au plus. • 112 mots par partie | Je suis un paradoxe | décembre 2017 ©