Amour secret [TERMINÉ]

Chapitre 14 (corrigé)

Varek me raccompagne donc chez Astrid et repart ensuite, avec Ingrid, chez lui.

-Tu vas me dire ce qui t'a pris de penser de sauter du haut d'un immeuble! Me crit Astrid les larmes aux yeux, sûrement dû à la peur que j'aurais pu vraiment sauter.

Je la prends donc dans mes bras pour la rassurer.

-Je suis désolé de t'avoir inquiéter Astrid... C'est juste que mon père n'arrête pas d'essayer de contrôler ma vie, mais, même si j'ai dit que je sauterais, je ne l'aurais jamais fait.

Nous passons la journée dans les bras l'un de l'autre, coucher dans le lit d'Astrid. Vers l'heure du souper, la mère d'Astrid, sachant que je ne voulais pas voir mon père, puique Astrid lui avais dit, me propose de rester pour le souper et pour dormir.

-Je vais demander à mon père. Je ne veux peut-être pas le voir, mais je ne veux pas non plus être privé de sorti et de ne plus pouvoir voir Astrid, je lui réponds.

-D'accord, tu viendras me voir quand tu auras la réponse, elle me dit avant de quitter la pièce.

J'appel donc mon père.

//conversation téléphonique//

-Oui bonjour?

-Salut papa...

-Fils! Où étais-tu? Reviens tout de suite à la maison sinon tu es privée de sortis, il me dit, ou plutôt crie, sans être le moindrement inquiet.

-J'étais chez Astrid et je voulais savoir si je pouvais souper et dormir chez elle, je demande.

-Tu connais déjà la réponse, alors pourquoi tu me demande? Il me dit.

-Parce que je voulais que tu me confirme que je pourrais pas t'éviter plus que ça.

-Parce que tu m'évitais?

-Bien sûr! Tu essais tout le temps de contrôler ma vie alors le seul moyen que j'ai trouver pour pouvoir faire quelque chose de moi même, c'est de t'éviter! Je dit énerver avant de raccrocher.

//Fin conversation téléphonique//

Je recois alors un message de la part de mon père quelques minutes après.

De: Stoïk

Si tu n'aime pas ma façon de voir les choses, alors tu n'as qu'à te dire que je ne suis plus ton père! De toute façon, tu n'est bon à rien!

-Comment il peut dire ça? Je dis en lançant mon téléphone à l'autre bout de la pièce.

-Qu'est-ce qu'il y a? Me demande Astrid.

-Mon père ose me dire que je ne suis qu'un bon à rien!

Elle se lève et ramasse mon téléphone qui, par un quelconque miracle, est intacte.

-Je ne peux pas croire qu'un père fasse ça à son fils, dit-elle.

-J'ai tout fait ce qu'il voulait pour ne pas qu'il se fâche puis c'est comme ça qu'il me remercie...

-Je n'aime pas te dire ça mais tu devrais rentrer chez toi pour ne pas agraver la situation... Me dit Astrid.

-Je sais... On se voit demain alors?

-Je te raccompagne, me dit-elle.

Nous partons donc en direction de chez moi. Le chemin s'est fait dans le silence complet.

Rendu chez moi, je la prends dans mes bras et la serre fort. Je me separe d'elle puis entre chez moi.

Dès que la porte fut fermer, je me dirige vers ma chambre dans le but de m'y enfermer. Je ne compte pas voir mon père de si tôt.