Désillusion

Treizième Chapitre.

</ Hey ! Alors voilà d'abord je tiens à préciser qu'à la fin du chapitre, au deux derniers "petits poèmes" je n'ai pas réussi à mettre les mêmes guillemets que je met habituellement à la fin des poèmes ... Wattpad refuse par tous les moyens que je les mette, et je me dis que je ne vais pas attendre de régler ce problème pour poster, non ? Alors excusez moi pour ceci ^^ Sinon, comme d'habitude, j'espère que le chapitre vous plaira, et pensez à me donner votre avis, ça m'aide beaucoup et ça me motive aussi ! ;) Breff voilà bonne lecture ! \>

                        Treizième Chapitre

  " Tu as bien dis Maxence ... de "Maxence Lazar" ?

- Oui.

- Mais vous n'avez même pas le même nom !

- Tu sais très bien qu'on a pas forcément le même nom quand on est de la même famille ! Écoute, j'ai bien vu comment il s'est comporté avec toi l'autre jour ...

- Non, ne te tracasses pas la tête avec ça. Après tout tu viens de retrouver ton cousin, non ? "

  Je feignais un sourire pour tenter de donner le change. Je ne voulais pas atteindre sa bonne humeur et son excitation pour une histoire comme celle là. Mais quand même ... sur tous les cousins possibles, il avait fallu que ça tombe sur Maxence ? Et il avait fallu que Cynthia tombe dans la classe de son cousin perdu, qu'elle devienne amie avec moi, dans le plus grand des hasards ! Bientôt j'allais avoir un nuage de plus exclusivement pour moi, si la poisse continuait de me suivre comme ça !

  Mais elle n'était pas décidé à lâcher l'affaire. En quoi ça la regardait ? Après tout elle n'avait pas à gâcher son plaisir pour moi. Mais son regard était désormais sans aucune once de plaisanterie. Elle avait repris son sérieux, et il valait mieux pour moi que je réponde à ce qu'elle allait me demander.

  "Qu'est-ce qu'il s'est passé exactement avec Maxence ?"

  Pourquoi cette question ? Mais en même temps, pourquoi pas cette question ... J'allais devoir lui raconter. Mais je ne savais pas si je pouvais. Déjà parce qu'on venait à peine de devenir amie, et en plus de ça, elle était sa cousine.

  Mon téléphonne vibra à ce moment là. Dieu soit loué ! Pour une fois que j'avais un minimum de chance ! Je profitais de cela pour couper court à la conversation et lire mon message.

 Emée : Heyy ! Tu vas bien ?

 Moi : Je viens juste d'apprendre que l'amie que je me suis faite, est en fait la cousine de Maxence. Mais à part ça tout va bien. Et toi ?

  Je m'étais, bien entendu, discrétement écartée. Je n'avais pas envie de prendre le risque que Cynthia lise ceci. Sauf qu'elle n'était pas prête à abandonner sa question. Téléphone qui vibre, ou non.

  " Je sais que tu n'as pas envie que je te pose cette question ... Mais tu peux me faire confiance. Ce n'est pas parce que je suis la cousine de Maxence que j'approuve ce qu'il fait. "

  Et à croire que c'était vraiment mon quart d'heure de chance du siècle, la porte de ma chambre s'ouvrit à ce moment là. On se serait presque cru dans un film ou dans un roman un peu trop prévisible.