Explication

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— Quoi ? répondit-il gravement. J'espère que ce n'est pas une de tes blagues.

— Non, laisse-moi t'expliquer. Je veux juste te dire que je n'approuve aucunement ce que papa et maman ont fait et qu'ils ont gardé cela comme un si gros secret.

Je commençai par le début.

— Nous sommes des triplets, notre frère s'appelle Sam. Lorsqu'il est né, il a eu de graves problèmes médicaux. Il a dû être en soin intensif pendant plus de 3 semaines. Après il a dû être soigné dans un hôpital pendant plus de trois ans. Après, pour rattraper le retard qu'il a pris, il a dû aller en pré maternel dans une école à plus de deux heures d'ici. Il couchait là-bas. Il était supposé rester dans cette école deux ans, mais il a fait tout son primaire là. Nos parents trouvaient que nous l'annoncer maintenant à 12 ans était une grave erreur. Alors ils l'ont envoyé dans un pensionnat privé loin d'ici. Il venait ses jours de congé, mais il restait dans la chambre d'ami. Il est en congé d'école depuis plus de 2 semaines maintenant, alors il reste chez nous. Il a été sous notre nez pendant plus de 2 semaines et nous ne l'avons jamais remarqué. Je suis désolé Mike... finis-je par lui dire après cette histoire.

La première fois que je les vus, j'écoutais un film et il m'avait dit qu'il revenait plus tôt d'un party et bien je l'avais cru, me rappelais-je, aussi la fois où je pensais que Mike n'aller plus à ses cours de baseball. Ou juste la fois où je suis allé le voir, il était avec ma mère, pour dire que je connaissais son secret.

Je ne sais plus comment je l'ai su. Je sais juste qu'un éclair est venu et que j'en suis arrivé à cette conclusion.

Le fort que mes parents ont créé et la nourriture qu'ils ont apportée pour leur « rendez-vous » amoureux entre eux. Et bien, c'était pour Sam.

Je regardai vers ma porte et je vis Sam, là avec le DVD de Aladdin, en train de pleurer. Il s'avança et Mike le dévisagea, mais lui sourit.

Sam alla mettre le film et vit s'asseoir de l'autre côté de moi.

On s'endormit comme ça, à moitié fatigué, à moitié soulagé.

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