Chapitre 14

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Coucou, désolée pour le retard du chapitre d'avant donc je me rattrape avec celui là. Merci de lire mon histoire, et merci pour les plus de quatre cent vues. Je vous aime mes griffeurs ! (:

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La journée passait vite, j'avais fait différents essais, mais ceux qui m'allaient le mieux pour l'instant étaient medjack - infirmière - et briqueton - personne qui répare les construction - et j'étais en train d'essayer le métier de cuistot, j'avais comme qui dirait chassé Poîle à Frire de sa cuisine pour être seule et préparer le repas. Pour l'instant je préférais cuistot et medjack, j'aimais bien briqueton mais c'était toujours la même chose et en plus je n'aimais pas trop le maton, il n'était pas très agréable et en plus il me faisait penser à Gally. Et quand j'avais appris qu'il était un de ses amis j'avais décidé de ne pas faire ce métier. Et quand Fry - dit Poîle à Frire - m'avait dit qu'ils étaient comme deux frères et qu'ils se comportaient pareils j'étais sur de ne pas faire ce métier. Tout le monde m'avait regardé soit avec de grands yeux ou m'avaient félicitée pour le combat d'hier soir. Ou il y avait eu les regards noirs et quelques insultent marmonnées mais que j'avais quand même entendues. À croire Fry avant que je ne le chasse, j'avais appris qu'il n'y avait quasiment jamais eu de personne qui l'avait battue à par deux ou trois. Comme Minho, Alby... Mes pensées étaient toutes tournées sur le travail que j'étais en train de faire, j'avais décidé de leur faire un repas qu'ils n'étaient pas près d'oublier. J'avais alors décidé de faire des steak avec des pommes de terre avec une sauce aux champignons. Et comme dessert de la glace à la framboise faite ce matin même par moi. J'étais en train de battre des œufs pour pouvoir faire de la chantilly pour le dessert quand la porte du réfectoire s'ouvrit en claquant. Je relevais la tête de mon travail et vis la dernière personne que j'avais envie de voir, Gally. Je fronçais les sourcils quand je le vis et détournais le regard quand il tournait le regard vers moi. Il se rapprochait du comptoir et claquait ses mains dessus. Je relevais la tête et lui jetais un regard noir avant de lui lancer du ton le glacial que je pouvais faire :

- Qu'est-ce que tu veux ? Demandais-je.

- Je veux juste un verre d'eau donc tu te calmes ! Me dit il avec un ton menaçant.

Je tournais les talons et allais chercher ce qu'il m'avait demandé. Je lui en remplis un et lui ramenais en le posant brusquement sur le comptoir.

- Faut vraiment que tu te calmes ! Me dit il avec un froncement de sourcil.

- De rien, dis je en tournant les talons pour retourner à mon travail.

- Qu'est-ce que t'as contre moi ? Me demandait il, et bon sang regardes moi !

Je me retournais brusquement vers lui encore plus énervée qu'avant, qu'est que j'ai contre lui ? Tout ! Il m'a enfermé cinq jours sans rien à manger et à boire. Et après il me demande ce que j'ai contre lui ? Il est pas croyable !

- Tout, je te déteste et j'ai pas envie de voir ta face de plonk alors dégages, dis je presque en criant.

Il tapait de son poing le comptoir en faisant tomber le verre par terre qui ce brisait quand il rencontrait le sol. 

- C'est pas parce que t'es une nouvelle que tu peux me parler comme ça, me dit il agressivement.

- Et toi c'est pas parce que t'es un mes que tu peux faire tout ce que tu veux, et encore moins avec moi. Dis je en le fixant dans les yeux.

Si des yeux pouvaient tuer, il serait mort depuis longtemps, avant même qu'il ne fasse un pas dans le réfectoire, dès que je l'ai vu en fait.

- Tu as intérêt à te calmer si tu veux pas finir au gnouf, me dit il en me collant son doigt sur mon torse.

Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant