Chapitre 24

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Pdv Newt :

Ça fait maintenant cinq jours qu’Iris et Minho ont rompus, j’en veux beaucoup à Minho, il ne veut même pas écouter les explications qu’Iris essaie de lui donner ni les miennes. Et en plus d’avoir quitté iris pour quelque chose qui est entièrement faux il me fait la  tête et quand je l’approche il m’envoie bouler avec toutes les insultes du monde. Je lui en veux vraiment ! Qu’il me fasse la tête je veux bien, qu’il l’a fasse à Iris je suis pas trop pour, mais ce qui m’énerve vraiment c’est qu’il ne voit pas qu’Iris ne dort plus mais pleur à la place et qu’elle ne mange plus non plus. Quand je l’ai remarqué je me suis occupé moi-même de lui apporter à manger dans sa cabane ou elle passe la plupart de son temps quand elle a fini de faire à manger ou qu’elle a fini sa journée chez les medjacks. Aujourd’hui ça fait le sixième jours, je sors de ma cabane et vois tous les blocards se lever en même temps. Je remarque qu’ils ont tous un visage comme qui dirait surpris, je regarde et vois le bloc parfait, un bloc rangé, avec les légumes et les fruits cultivés, les parcelles de terre fraîchement retournée ce qui dégage une bonne odeur. Je m’avance et va comme qui dirais visiter ce nouveau bloc. Je passe par l’infirmerie et vois que la réserve à été rangée, les draps des lits lavés, les lits fait, les douches reliées aux chambres propre et rangées. Je vais dans la salle du conseil et vois que toutes les chaises sont toutes bien alignées et la poussière faite. Je me retourne et vois que presque tous les blocards me suivent. Je passe dans tout le bloc, je finis par le réfectoire d’où il sort une odeur attirante. J’ouvre la porte d’un geste brusque et vois Iris aux fourneaux. Sur toutes les tables il est disposés dans des paniers des petits pains chauds, des croissants et d’autres petites viennoiseries. Il y a aussi des petits pots contenant de la confiture, du miel et du lait. Toutes les mâchoires tombent, nous n’avons jamais eut de petit-déjeuner comme ça, aussi garni, aussi… bien. Tous les blocards courent presque s’asseoir à une table sauf moi, je veux d'abord parler à Iris. Je me dirige vers le comptoirs et hésite avant de dire :

- Iris ?

- Oui ? Dit-elle en se retournant vers moi avec un visage sans expressions.

- C’est toi qui a fait tout ça ? Demandais-je.

- De quoi ? Le petit-déjeuner ?

- Oui, dis-je, mais aussi est-ce que c’est toi qui a rangé tout le bloc ?

- Oui, c’est moi, dit-elle en se retournant, je n’arrivais pas à dormir alors je me suis occupée.

- Tu te fous de moi c’est ça ? M’énervais-je, tu compte prouver quoi en faisant tout ça ?

La plupart des regards sont tournés vers nous mais je continue quand même.

- Tu comptes te tuer à la tâche ? demandais-je en frappant sur le plan de travail avec mon poing, je sais que tu ne dors pas, je sais aussi que tu ne manges pas, et j’aimerais que tout ça s’arrête !

Elle claque ses deux mains à plat sur le plan de travail et me hurle :

- Tu crois que c’est facile ? Ce faire détester par la personne que tu aimes le plus ? Qu’il te quitte par jalousie en te balançant par la porte, de te faire détester par tant de personnes ? Non tu ne sais pas, tu n’es pas à ma place, tu ne peux pas savoir ce que ressens, personne ne peut.

Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle part en courant et sort par la porte de la cuisine par laquelle je ne peux passer car le plan de travail me barre la route. Je me retourne et vois tout le monde me fixer avec de gros yeux. Je peux voir les coureurs présents sauf un, Minho. Au moment ou je pense à lui la porte s’ouvre sur… Minho.

- J’ai entendu des cris, il se passe quoi ? Demande t-il.

Je ne réfléchis pas et lui saute dessus. Quelques blocards vont pour m’empêcher mais je leur déconseille du regard. Je tiens Minho par le col plaqué contre le mur du réfectoire. Minho se débat mais je le bloque et le regarde droit dans les yeux de mon regard le plus noir que je puisse faire.

Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant