Hunger Games 4

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Mille pardon pour ce retard, j'était en vacances , et le wifi laissait à désirer, si vous voyez ce que je veux dire. Ce chapitre est un peu court (sorry) et contient pas mal de dialogue, alors... : commentez, votez, critiquer, partager et lisez !

Je repasse tout les événement : un hovercraft marqué du seau du capitole lâche un filet sur mes enfants et les emporte. Leurs visages apeurés étaient en pleur et leu cris déchirants. Trente secondes, et ma vie repart en fumée. J'avais réussi à calmer les cendre des baies de sureau mortel, de la révolution, de Coin, du président Snow, du départ de ma mère et de Gale dans le district 4, de Prim... et ça repart. Il ne me reste plus que Peeta, j'ai tout perdu. Je le sert dans mes bras, il pleur à chaude larme.

- Katniss, c'est ma faute...

- Non, viens, on rentre et on va au capitole : on a des enfants à récupérer.

Il essaie d'afficher un sourire, je l'embrasse et l'emmène en tirant sur la corde de l'âne, peu habile. Une fois à la maison, je fourre d'ans un sac à dos tout ce qui pourrais nous être utile, eau, viande sèche, sac de couchage... Je vérifie mon arc et remplis mon carquois des flèche de la révolte : explosif, inflammable et simple. Je sors aussi, à contre coeur, nos combinaisons faites par Cinna. Aucune larmes n'a le temps de couler, en un quart d'heure, tout est prêt, tout sauf Peeta. Il pleur sur sa combinaison.

- Je peux y aller seule, si tu veux...

- J'ai déjà perdu mes enfants , je ne perdrais pas ma femme.

Il essuie ses larmes d'un revers de manche se lève. Je lui tend un sac et des couteaux.

- Je t'aime.

- Moi aussi.

Je l'attire dans mes bras.

- On va les récupérer, je te le promet.

*

Peeta n'est vraiment pas discret... Il fait plus de bruit qu'un hovercraft qui s'écrase. Nous gagnons tout de même le district onze en peu de temps. Je veux me rendre au capitole. Il va nous falloir prendre le train, seulement je ne veux voir personne d'autre que Peeta, autant pour notre sécurité que pour être tranquille, une balle est si vite partie... De toute manière, je suis totalement paranoïaque depuis les jeux. Le moindre bruit inconnu résonne comme un danger a mes oreilles.

- On va s'incruster dans le wagon bagages, chéri...

Il ne dit rien mais hoche la tête. Je repère la gare où nous nous glissons derrière les nombreuses valises et sacs. Je plaque ma main sur ma bouche pour étouffer un cris. Madge, dans son uniforme immaculé, pousse un chariot de bagage.

- Madge !

Elle pivote sur elle même pour identifier la personne qui l'appelle sans me remarquer. Je me sens à la fois heureuse et excitée de la revoir, pour moi elle était morte, comme tout les gens qui comptaient à mes yeux. Je sors de ma cachette, elle me reconnait immédiatement, et en reste muette.

- Katniss ? Je te croyais morte...

- Tu peux nous faire monter dans le train incognito ?, après je t'explique tout...

Madge abandonne son chariot et nous fais un signe de main et nous fais passer par les petite allée vide de la gare, en courant presque. Madge, toujours aussi discrète, passe son badge ça et là, sans se perdre dans ces couloirs sans fin. Elle grimpe dans un wagon vide et actionne son panneau « hors service ». Le wagon contient un canapé, une table, des gourmandises et il est éclairé aux chandelles.

- Vous allez où ?

- Au capitole.

La chandelle qui éclaire son visage m'indique qu'elle se demande ce qu'on va faire au capitole en combinaison geai moqueur.

Je répond à son sourire par un gloussement. Je lui explique tout, notre vie, notre nouvelle maison, mes enfants. J'ai un pincement eu coeur en les décrivant, et je manque de faire évanouir Peeta lorsque j'évoque l'hovercraft, l'enlèvement et comment je compte les recuperer. Il y a une dizaine d'année, vers la naissance de Kaelyn, je me suis juré de ne pas (de ne plus) être hystérique. Pour les autres. Je dois avouer que là, c'est pas l'envie qui manque de tuer tout le monde, mais je serre mes doigts sur mes accoudoirs : mes enfants d'abord. Avant même d'envoyer trois flèche dans le coeur de celui qui me les à enlevés, peut importe de qui il s'agit. Madge me regarde droit dans les yeux.

- Bonne chance ; et le sort puisse vous être favorable !

Je lui répond par un sourire maléfique, je suis prête à tout...

Voilà, j'espère que ça vous a plus, Big love et à la prochaine !