Jamais avant je n'aurais fait attention à ses griffures de chat. Jamais je n'aurais poser la question. Et jamais on ne m'aurait poser la question.Pourtant j'étais devant toi et tes manche étais relevée. En faite tu n'avais pas de manche. J'ai regarder tes bras et je les ai reconnus. Mon dieu j'avais les mêmes.
J'ai alors demander et tu ma répondu ce que j'aurais répondu. Tu ne m'a pas mentit. Tu m'as dit que cela ne me regardait sans même me regardée. Non tu les fixais comme moi je les aurais fixé, comme moi je les fixais comme moi je les avais fixés. Ton sourire est revenue et tu t'es tourné vers ta voisine.
J'avais compris et tu le savais. Pas besoin de mots. Nous ne somme même pas amis mais nous nous étions compris sans même nous regardée. Ce que les autres ne voient. Alors j'ai observer ton sourire et je me suis demandé quelles avaient étés tes souffrances.J'ai regarder mon bras. Le gauche bien sûr. Je suis droitière comme toi. J'avais dessiner dessus pour faire disparaître les marques mais l'encre c'était incrustée. Maintenant elle ressortait mieux. J'ai secoué la tête et j'ai penser à l'épreuve que j'allais passer.
L'aparté était terminé.
VOUS LISEZ
36 pieds sous toi
PoetryPetit recueil de prose remplie de fautes d'orthographes car tous ces textes sont écrit tard la nuit. Et que je suis dyslexique aussi. Veuillez m'excuser.