Tu me brise le coeur et tu me pète les couilles... T'es doué dans ton domaine. Tu me fatigue comme personne ne m'a fatigué et ça te fait rire ? Oh, au moins je commence à te haïr. Oh non ce n'est pas pour ça que je t'aime, oh non ne rigole pas quand tu vois ma jalousie car quand je commence à montrer mes émotions c'est quelle deviennent plus importante que toi. Oh commence tu a comprendre que tu n'est plus ma priorité ? Te rends tu compte que plus tu joue a ce jeu plus tu me brise ? Non bien sûr, je sais pourquoi tu joue. Tu veux juste baiser. Tant que tu a mon corps et un peu de mes rires tout vas bien. Mais des que je commence à crier à l'aide, c'est coupe les ponts. Non je ne suis plus prête à tout. Oui j'ai fais des erreurs par amour. Non je ne les regrettes pas malgré que j'ai tout perdue.
Un jour je ne serais plus la pour me relever. Un jours, quand dans ton coeur il y aura un autre soleil je n'existerait plus. Tu ne le saura pas mais j'aurais passé le cap depuis longtemps. Rien ne me retient ici et rien ne m'attend là bas. Je suis déjà dans les limbes et j'attend que tout passe mais cela tu t'en fous car ma souffrance ne vaut pas la tienne. Mes doute ne valent pas les tiens. Quand mon corps est en danger la y'a du monde. Mais quand mon esprit crie à l'aide j'ai le droit au simulacre de ta bonté. En même comment pourrais je attendre guérison du couteau qui me tranche les veines. T'es vraiment mon pire poison. Tu n'es pas le seul, non tous vous me tuez sans vous en rendre compte. Alors quand je devrais écrire mes au revoir pour vous aidez à passer à autre chose je ne dirais qu'une chose. Vous n'étiez plus ma raison de vivre.
J'ai la haine dans la tête et la rage dans la veine. Si je pouvais t'arracher de mon coeur. Je te jure que je n'hesiterais pas. Un choix l'amour ? Et mon cul alors ! Si je pouvais je remplirait tes nuits de cauchemars sanglant. Jamais tu n'aurais la paix. Tes journée ne serait qu'un ramassis de malheurs. Mon dieu tu te donnerais la mort par toi même pour mettre fin à ton calvaire. Tu mettrais fin au miens. Mais bien sûr je ne peux pas, si seul un de nous devais survivre je n'aurais même pas la décence d'hésiter avant de me tirer une balle.
Regarde ce que tu me fait... Si tu m'a aimé un jours, en souvenir de ce jours abrége ma colère.
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36 pieds sous toi
PuisiPetit recueil de prose remplie de fautes d'orthographes car tous ces textes sont écrit tard la nuit. Et que je suis dyslexique aussi. Veuillez m'excuser.
