36 pieds sous toi

Brèche de vérité.

Je voudrais reprendre ma plume. Reprendre ma vie en quelque sorte. Je voudrais ouvrir une brèche de vérité. Faire une pause et rompre les promesses. Je souhaiterais simplement vous parlez. Posons nous quelque instant qui ne dureront pas éternellement. Laisse moi profiter de la chaleur d'une vérité que je suis seule à savoir. Allons ne fait pas l'enfant, tu passe ton temps à me pousser, ne soit pas étonnée maintenant que je suis à terre. Non ne me tend pas ta main pleine de tiges de roses. Je trouve leurs pétale bien jaune pour un hiver pareil dans mon petit muscle. Le jaune est une couleur que j'ai toujours détestée. Je ne supporte pas les blonde, ni les fleurs jaune. Merci de bien vouloir mettre ce jolie bouquet que tu te construit ailleurs que sous mon nez, certaine de ses fleurs, je les ai vue bien trop souvent.
Je souffle enfin, c'est tellement bien d'être la, pourquoi dois tu toujours tout ramener à toi ? Pitié j'ai ouvert une brèche de vérité respecte mes croyances cinq minute et tait toi un peu. Tous ce que tu dit je n'y crois plus ce son sûrement des mensonges. Tu me fatigue vraiment maintenant laisse moi un peu parler.
Je peux maintenant ? Le corps peut parler ? J'ai le droit de délier mes sentiments que j'ai passer sous silence ? Non ? Ah. Bon de toute façon le mensonge par omission est presque devenu ma vérité. Et puis tu sais déjà ce que je vais vous dire à tous. Ne perdons pas de temps dessus. Si je veux perdre du temps sur moi c'est mon choix. Taisez vous maintenant, La prostitué exclusive payer en miette de tendresse voudrait libéré son pauvre petit coeur. Pauvre petit, je lui est retirer toute fonction sentimentale. Il est tout triste depuis qu'il n'a plus de joie pour accompagner ses prisonniers. Car oui j'ai fais de mon muscle favoris, une prison presque imperméable. J'ai bien sûr laissée la clef a la solitude quand elle veut emmener les autres faire un tour dans mes yeux. Bon en ce moment ils sont à sec bien que hier il est un peu plu. 
Roh quoi encore? Je suis faible? Et ? C'est pas interdit à ce que je sache ? J'ai le droit d'être blesser. L'argent ne fait pas le bonheur pourtant il achète la vie. Ne me casse pas les neuroned avec tes "moi je suis pire" Tu n'es pas moi tu ne sais pas mon seuil de douleur. De tout façon je ne ressent plus la douleurs, les blessure bénigne me procure un plaisir malsain et totalement mental. Peut être ma nouvelle drogue, si je ferme les yeux sur le problème moral bien sûr. Mais je suis douée pour fermer les yeux et laisser couler, alors ça devrait être facile.  Je creuse de passage superficielle sur mon corps et je me laisse couler sous la surface. C'est si bon, c'est si beau. Je veux profiter encore un peu alors vas y fais moi ce que sais faire de mieux. Chaque chemin que j'imaginerais pour m'envoler sera fait d'un plaisir que je peux te partager mais que tu ne peux comprendre. Je sais exactement dans quoi je m'embarques, je connais chacune des marches de cette escaliers. Douce joie de pouvoir prédire mes erreurs en étant convaincue que je ne les ferais pas. C'est tellement étrange et bon. Non non je sais que je n'y mettrais pas un terme. De toute façon c'est ta faute aussi. Tu n'as cas pas me haïr. Et mieux me connaître. En faite tu me connais très bien d'ailleurs. Alors c'est ta faute. Si tu ne me nourris que de miette, je vais manger ou je peux. Et si je peux me nourris seule. Alors je ne vais pas hésité. J'ai faim. Je me demande quand parfois si tu me haï vraiment ? Je sais très bien ce que tu vas me répondre. Mais tout n'est qu'un éternelle recommencement. Toujours les mêmes prénoms, les même histoire. Toujours les mêmes mensonges. Heureusement plus que 1 ans et 3 mois environ. Après, c'est fini, ma pensé sera loin d'ici . Je te manquerais? Ne ment pas,  jamais tu n'as réussi à pleurer ma mort, ce n'est pas maintenant que ça va commencée. Ton absence me laisse un goût amer. Mais ta présence ne me laisse ni goûts, ni corps, ni esprit d'ailleurs. Je dois avoir la mauvaise habitude de tout te donner ou alors tu me prends tout. Je n'ai pas la paix que dans mon sommeil qui ....

comme je le demande chaque soir, soit éternel. Et voilà quelque chemin entre nos lignes. Passons et reprenons nos vérités. Enfin vérité.... C'est très vite dis, car vilaine comme je suis j'utilise les mots de manière retourné, pour ne pas avouer. Je ne suis pas encore un suspect, même si ça ne devrait tarder. Roh silence tu a fait bien pire laisse moi profiter de mon petit plaisir interdit. Que j'aime mon corps quand il souffre. Que j'aime cette douleurs qui me réuni. Elle nous mets d'accord  enfin sur un plaisir partagée .  Bientôt ma vie se libérera sûrement  mais pour l'instant ce n'est pas l'heure. Cela fait du bien de délier un peu sa langue et son coeur. Il serait ironique que je soit Gabriel et toi Kaitlyn.
Parfois je trouve ça un peu égoïste de ma part de garder ma douleurs pour moi. Mais je trouve cela encore plus égoïste de la partager et le summum c'est de ressentir de la douleur. Je suis vraiment égoïste jusqu'au bout bien que maintenant cette douleurs à remplacer , ou du moins essayer , l'amour. Celui qui fait que je suis entrain de passer la putain de l'âme d'un putain de ciseaux sur mon bras et ceci avec le sourire et une satisfaction étonnante.
Ah j'ai une belle gueule pour dire autre que tout vas bien, que je suis la. Pour les empêcher de faire des conneries. Ah oui, je suis la à dire " Ne te fais pas de mal ", " Non tu a tord moi je m'inquiète et je serais triste". Mais qui est la pour s'inquièter pour moi ? Je suis toute seule prête à tout pour vous. S'il vous plaît regarder moi. S'il vous plaît  comprenez moi. Regarder dans mes yeux et essayer pour une fois de voir au delà de l'excentricité. Voyez ma douleurs. S'il vous plaît prenez moi dans vos bras et bercée moi. Aimez moi comme ci j'étais une améthyste. Cette pierre si fragile si peu rare mais si jolie. Je souhaiterais tellement être écoutée. Je voudrais avoir le droit de t'aimer à la folie. C'est pas grave si tu ne m'aime pas tant que ça. Enfin si un peu. J'ai compris ce que je voulais et ça commence à faire mal. Je veux juste que tu sois à moi. Je ne pleurs plus et je ne suis plus triste. Regarde j'ai fais mes devoirs. Regarde j'ai mûri. Regarde comme mon cadavre est beau. Oh je ne m'inquiète pas tu ne vois que moi. Une fille immature mais pas trop bête qui gâche son avenir. Une fille triste et égoïste. Oh je connais ma valeur. Et elle ne vaut rien. Je SAIS PUTAIN . JE LE SAIS BORDEL. MAIS MERDE. S'il vous plaît... aidez moi. Je ne pleurs plus et je ne suis plus triste mais je crois que mon corps commence à porté la marque de ma mort. Dire que je voulais reprendre ma plume et ma vie. Je crois qu'il est trop tard. Laissez moi juste vous servir de courte échelle pour vous faire remonter la pente. Que cette an  soit utiles, que vous puissiez m'associer au soleil avant que je ne dépose ma vie.
Deposer ma vie, c'est vite dit. Plutôt l'abandonner pas la peine de nous mentir. Finalement je ne souhaite pas grand chose à part toi. Je n'ai pas changer j'ai simplement appris à mentir. Et tu veux un bonne menteuse.  Oh que je vais être douée. Oh comme je vais en chier. Si je ne dois avoir que toi je n'aurais que toi. Enfin avoir un bien grand mot. J'aime les grands mots. Je n'aurais rien de toi. Tu vas te rendre compte que finalement je ne jamais pas tant sur cela. Oh oui tu m'aides mon amour, regardez le comme il va m'aider. Ah je vais aller mieux grâce à lui c'est sur. Vous savez avec qui je serais mieux ? Avec qqn qui m'aime ! Oh non pas de faux semblant. Je veux une personne prête à tout pour moi et ainsi je pourrais être prête à tout pour elle. Oh oui lui donner ma vie quand elle me donnerais la sienne. Femme ou Homme, Asexuer ou Androgyne. Je m'en fiche bien. Non je ne veux pas l'amour. Non je veux juste une extension de mon âme. J'ai déjà ma moitié. Je lui es t donner un nom. Elle me soutient. J'ai besoin d'un dlc de mon âme.