Je ne vais pas commencer par le titre. En faite, tu ne prendra pas toute la place dans cette pensée. Tu deviens secondaire,comme inintéressant. Non ce soir je voudrais parler de mon ciel bleu. Et de ma chute. Car je suis tombé de haut et la descente vas être longue.
Tout d'abord je me suis convaincu de tomber pour toi pensant choisir la facilité. J'avais oublié la douleur de la chute. Je ne m'en croyait pas vraiment capable, me traitant de menteuse et d'idiote. Comme j'aurais aimé mentir. Se sentir tombé est assez horrible. Je sens l'air qui me poignarde. Je sens la honte me prendre, je sens mon cerveau qui décide seul de partir quand je me perd. Mon coeur ne répond pas toujours présent mais il sera le dernier de mes organes a tombé car protéger par mes côtes et mes mensonges.
Mon dieu que j'aime cette douleurs depuis longtemps enfuie. J'aime rougir de l'intérieur et j'aime la honte que provoque mes propres pensées. Tout ce que les autres déplorent, me rend vivante. Je sais que j'aurais mal, je sais que je vais encore perdre ce que j'ai durement gagner. Je sais que cela vas être un échec. Je sais qu'il n'y aura pas d'échec puisque jamais je n'oserais bouger un pion pour manger ta reine. Je sens que je tombe bas et que le ciel me lâche. Je sens ma nuit essayer de me protéger de toi mais mon dieu a croire que ma forêt et mon ciel se battent.
Mon dieu que je suis naïve, mon dieu que je suis seule pour comprendre. Je ne semble pas retenir les erreurs que je fais et je semble les recommencer. Parfois je sens comme des milliers de petite bombe me détruire les entrailles. A peine le temps de les sentir que déjà il ne sont qu'illusion. Quand tu n'est pas la je te sens quand même tu empoisonne ma vie comme tu deviens mon oxygène. Je souhaite ta mort.
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36 pieds sous toi
PoesiaPetit recueil de prose remplie de fautes d'orthographes car tous ces textes sont écrit tard la nuit. Et que je suis dyslexique aussi. Veuillez m'excuser.
