Bien trop rapide pour mon oeil, c'est au rythme de la musique quelle danse sur ma peau. Sans jamais la traverser, un peu comme une excuse pour me pardonner, elle laisse sa marque de plaisir. Un plaisir qui gonfle et qui parfois laisse quelque point sous la surface. Un plaisir malsain que peu comprenne. Il faut, comme eux, ouvrir une partie de son esprit, et laisser échapper la survie, pour goûter à cette brûlante preuve de vie.
Il n'y a pas que la survie qui s'échappera d'ailleurs, la douleurs précédera. Puis le plaisir trop intense nous tueras.
Mais avant ça, les yeux fermés sur un thème où ne remonte aucun souvenir, comme la promesse d'une nouvelle vie. Un éclat de lumière qui danse comme elle ondule les hanches. Une libération a chaque fois qu'elle fait ce petit mouvement de poignet. C'est simple, parfois imprécis alors elle rate sa cible, mais fascinant en tout temps. Les lèvres entrouverte de douleur et de plaisir, elle a compris sa porte de sortie. Oh elle danse avec les vies, mais surtout la sienne. Elle sait ce qu'elle vas penser et elle se moque d'elle même. Oh elle sait toujours coment les choses vont se finir et jamais encore elle ne s'est trompé.
Le rythme s'accélère, les lumières passent pour elle, elles battent le tempo.
Alors tout devient chaotique, plus de pensée et plus de crie. Rien ne reste dans son esprit. Une seule chose en tête, que rien ne doit y être. Alors elle oublie quelle est une personne, elle oublie quelle compte car ce qui compte c'est que la douleurs cesse dans son monde. Elle veut le bien ou peut etre juste son propre bien. Alors elle se ment, toute les chose quelle disait aux autres n'ont maintenant à ses yeux aucune valeurs et sonne creux. La musique danse, son corps danse, son esprit danse et son âme danse aussi. Mais en dehors de son enveloppe charnel.
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36 pieds sous toi
PoetryPetit recueil de prose remplie de fautes d'orthographes car tous ces textes sont écrit tard la nuit. Et que je suis dyslexique aussi. Veuillez m'excuser.