Perdu

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Profitons de la pause que je m'accorde chaque fois que je touche mon lit. Je défaits mes chaînes même si elle sont toujours dans mon esprit. J'enlève l'étau de ma poitrine même si coeur reste comprimé. A la recherche de la liberté dans mon petit lits comprimé, je regarde en profondeur mon plafond bien trop proche. Si je rendais la main je toucherai mon plafond mais pas mes rêves je vous avoue. Parfois je tends les bras pour me fatiguer plus vite. On ne sait jamais je pourrais peut être mourire de fatigue. Quand je pense, je me sens prisonnière. Ce n'est pas bien mais j'y peux rien. Je tente des choses puis je regrettes, et j'ai mal mais recommençons, on ne sait jamais quelle chemin vas nous mené à ma guérison. Je ferme les yeux mais les ouvre tout de suite car j'ai peur. J'ai peur de tout mais personne ne le sait. Tous me provoque des angoisse qui se balade dans mon corps. C'est bizarre comme la douleur délie mes doigts mais pas ma langue. C'est aussi peut être parce que avec mes doigts tu n'est pas obligé de comprendre. Tu peux ignoré tout simplement tous ses cris de détresse. Tu peux même m'ignorer moi. Je t'avoue que chassez le naturel est olus simple que je ne le pensais. Il suffit de s'arracher la moitié du coeur, le reste suivra. Mes yeux piquent, pas de fatigué ou de pleure oh non. Ils me piquent car mon eyeliner a coulé. Je me sens perdue. Et un peu seule mais tout vas bien, tout doit toujours allez bien sinon tu partira et cette fois je n'aurais plus aucune raison de faire semblant. Aujourd'hui j'ai écris une liste de chose à faire avant de mourir. Je n'ai pas réussi à la remplir sans mentir. C'est dommage vraiment. J'aimerai mourir en dormant. Tant pis si je suis stupide, je m'ennuie depuis trop longtemps. Et puis je te manque pas, je le sais car la vérité fais toujours mal. Et la elle ma fait mal jusque dans mes petits doigts de pieds. Alors une fois débarrassée de moi ça ira mieux. Tu fera peut être des crises au débuts en te reprochant des choses enfin j'espère. J'espère que tu sera triste et que sa chantera tes nuits mais la aussi j'ai la sensation d'avoir tord. Tu te remettra en question et te demandant comment j'ai pu en être capable. Tu sais comme tout les suicidaire je ferais en sorte d'être heureuse devant vous. Je pense même que je rirais au éclats avant de te quitter pour partir. Sans moi tu ira mieux, tu trouvera quelqu'un de moins triste, de mois dépressif et de moins perdu. C'est en me perdant que j'ai ouvert mon esprit, c'est ce que tu aimais chez moi, dommage que se soit ma capacité à me faire du mal qui fit apparaître ma plus grande qualité. La prochaine sera aussi ouverte d'esprit et patiente. Elle ne verra que toi comme je ne voyais que toi. Elle aura toujours les bons mots, elle calmera tes cauchemars et tout tes tracas. Elle te soutiendra pour tout et voudra tout tenter avec toi. Bien sûr elle aura son caractère quelle ne sacrifira pas pour tes beaux yeux. Moi je n'ai pas de caractère, je suis soumise et loyal à ceux que j'aime prête à tout pour eux mais surtout à me taire. Je souhaitais tellement que tu sois fière de moi que enfin elle ne sera pas comme ça, elle fera de toi sa fierté en affichant au monde entier quand moi je voulais garder toute tes qualité pour moi. Quand je ne serais plus la, Elle pourras t'aimer sans crainte et toi aussi. Elle pourras compter encore plus, Elle sera celle qui ta aider. Et moi, dans cette histoire je n'aurais pas à voire tout cela. Certe je vais manquer une partie de ma vie mais nous somme bientôt 8 milliard, les chose que je suis capable d'inventer, quelqu'un d'autre peut le faire aussi. Je ne manquerai pas. Pas dans mon monde en tout cas.
Je n'ai parler que de toi comme si les autres n'avait pas d'importance. C'est pour cela que je suis la ou j'en suis. Je n'arrive pas à me lier au autre, a les aimer. J'ai fais semblant, j'ai chercher une forme de popularité, je pensais que si mes amitiés ne durait pas c'était à cause de moi et j'avais raison mais pas pour les raisons que je croyais. Je suis incapable d'aimer mes amies. Je suis empathique mais incapable d'aimer. Je m'en rends compte maintenant. Quand je vois avec quelle facilité j'ai abandonner l'entretien de mes relations. Ce n'est rien j'apprends à être seule. Sans vraiment l'être bien sûr des gens m'aiment et seront toujours la pour moi. Toi pour l'instant tu es la. J'espère te quitter avant que tu ne me quitte. Ça devrait pas être trop compliquée. Mon derniers éclats de génie, j'ai un peu de temps devant moi. Un coup d'une loyauté et d'un égoïsme pur. Mon coeur forme un rejet, même si je le voulais mes sentiments ne suivrait pas. C'est une obsession qui se créait. Tu a déjà commencer à m'oublier, tu pars déjà. Je te jure que je cherche mes mots, pour toi je vis, je souris et je ne pleurs plus. Toute ma vie j'ai cru que l'amour suffisait. Toute ma vie j'ai aimer en silence et en souffrance. Cela fais bizarre de revenir au base. Comme un retour au passé. La vie est un cycle, mais j'ai plus envie d'en faire me tour. Je descend de se manège et je te laisse continuer à tourné. Quelqu'un prendra mes places je ne m'inquiète pas. Je ne sais pas comment finir cela. Enfaite j'aimerai que cela ne prenne jamais fin. J'aimerais continuer et parler en boucle de tout ce que mon coeur a à dire. Puisque la vue se permet de répéter en changeant les phrase j'aimerai pouvoir faire pareil. Mais avec toi j'ai toujours une nouvelle raison de souffrir. Tu sais, je sais que sa t'amuse de me voir contrarié, je crois que tu le sais pas comme mon coeur souffre en ce moment. Si tu savais tu m'abandonnerais en disant que c'est mieux pour nous deux. Dis toi que en mourant je te devance de l'abandon que tu me prépare. C'est mieux pour nous deux. Je ne souffre plus et toi tu ne me fait plus souffrir. Tant pis pour les dessins et mon ouverture d'esprit. Mes discours n'aurait pas changer les mondes. Tant pis pour les longs texte tragique, personne n'y aurait verser de larme. Tant pis à mon âme soeur et à mes créations. D'autre humain vous attendent. Je sais que tu pensera que j'étais faible, que ma raison est ridicule. A tes yeux je serais morte pour toi. La vérité c'est que je m'offre la mort. C'est mon dernier cadeau à moi même. Je m'offre l'espoir et le réconfort. Quand je fermerais les yeux ma dernière pensée sera sûrement pour toi. Et je te souhaiterais sûrement tout le bonheur du monde. Je te souhaiterais la femme que je t'ai décrite et que je n'ai pas su être mais enfin bon j'étais une enfant et la je te décris une femme. Une femme que je le saurai pas être. Enfaite je ne serais pas femme longtemps. Tant pis, j'ai passer mon adolescence en pleure et tu aura été ma porte de sortie mais maintenant je pars seule. J'aurai aimer pousser cette porte avec toi. Mais au moins la je sais que c'est mon propre choix. Ce monde dans lequel je viens de rentré est si étrange et tu t'y épanouis si bien, sans y respecter les règles. Si seulement tu pouvais sortir de ma tête, je verrais littéralement plus clair. Je n'aurais peut être pas envie de vivre mais au moins je verrais ce que j'écris. J'ai chaud, j'ai mal et mes yeux piquent. Je sais, tu sais et nous le savons, 5 minute de bonheur ne valent pas tout cela. J'ai besoin de toi pour vivre comme j'ai besoin d'oxygène et je te déteste pour cela. C'est pour ça que je détache mon collier une fois chez moi. C'est pour ça que je me force à ne pas te harceler dès le matin. C'est pour ça que je ne veux pas te voir tout le temps. Je voudrais tellement savoir ce que sa fait de vouloir vivre par ses propre moyens. Finalement sur cette liste de choses à faire avant de mourir, j'aimerais savoir ce que sa fais de vouloir vivre sans dépendre de quelqu'un. Je sais que personne ne fais la dernière chose de sa liste.

36 pieds sous toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant