Jugement

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PDV Alexis

Je viens de me réveiller, un cri attire mon attention, je tourne la tête en direction de celui-ci et tombe nez à nez avec ma mère en train de frapper ma cousine, je grogne pour lui montrer ma présence et mon mécontentement quand je le retrouve tout à coup plaquer au sol. Une odeur désagréable parvient à mes narines, cette odeur immonde et puante me fais penser à Maria. Je grogne et me débats de toutes mes forces pour me dégager de l'emprise de la louve quand une odeur rassurante me parvient, j'arrête tout mouvement calmer par la bonne odeur de mon beau brun. Je me relève d'un seul coup poussant violemment la louve contre le mur mais me stope soudainement en voyant un homme et une femme d'un certain âge entrer dans la salle. Ma tante arrête instantanément de frapper Cassandre qui semble en mauvais état, elle s'incline devant les vieux, je me mets à renifler l'air et reconnais tout de suite l'odeur de vampire qui ne parviens pas de nos amis, ces deux personnes sont donc eux aussi des suceurs de sang. L'homme nous regarde ma cousine et moi avec mépris et déception avant de se racler la gorge et de prendre la parole d'une voix qui fait frissonner dans le dos tellement elle est dur me et froide.

- Cesser, ces enfantillages ! Laissez-les, vous savez bien qu'ils devront faire leurs preuves pour rester en vie, alors arrêtez de les frapper.

Ma tante semble énervée et perdue elle le regard tremblent et lui répond.

- Mais ...

- Il n'y pas de mais qui tienne, lâchez-les.

Je vois ma tante s'éloigner à contre coeur de Cassandre après lui avoir murmuré quelque chose à l'oreille, tandis que Maria s'éloigne de moi en me foudroyant du regard, la femme regarde partout dans la salle sans rien dire. Je m'inquiète pour nos deux camarades car elle semble les avoirs repérer, ma crainte vient vite être confirmée par la femme qui prend la parole.

- vous êtes vraiment une race inférieure, votre odorat est défaillant, car en dix secondes j'ai repéré deux vampires cacher dans l'ombre. Chopper les bandes d'incapables.

À peine eut-elle le temps de finir sa phrase que je vis Nohemie et mon amour se retrouver plaqué au sol à nos côtés et enchaînés avec force. Nous nous retrouvons tous aligné à genoux devant les anciens, une homme gros et vieux fait son apparition dans la salle et au moment où il croise le regard de Dimitri son regard devient plein de désir et d'envie. Ca me dégoute, je grogne pour lui dire de ne pas s'approcher mais il se contente de me mettre un coup avant de venir caresser devant mes yeux les joues de mon mec. Il lui lèche le cou, puis me lance un regard fière et part en emmenant avec lui mon vampire, je crains le pire.

PDV Dimitri

Je suis toujours attaché, l'homme robuste et écoeurant m'entraîne je ne sais où avec lui. Nous arrivons soudain devant une grande porte en métal, le vieux loup l'actionne et me jeté à l'intérieur avant de refermer la porte derrière moi. Je me retrouve dans le noir absolu, je ne vois rien et sens la peur m'envahir, je ne vois rien malgré ma bonne vue. Mais dans ce noir total parviennent à mes oreilles des cris de douleur mélangés avec des supplices mais aussi de plaisir, soudain la pièce s'illumine. Je ferme les yeux pour ne pas avoir trop mal à l'apparition soudaine delà lumière, j'ouvre petit à petit mes yeux, une fois ceux-ci adaptés à la luminosité. Le spectacle qui s'offre à moi me glace le sang et me fige sur place, devant moi se tiennent plein de jeunes hommes nus enchaînés au coin de la pièce, leurs corps sont meurtris et sur leurs épaules je remarque qu'ils sont marqués de numéros comme s'ils étaient du bétail prêt à aller à l'abattoir. Un bruit au fond de la pièce attire mon attention, un homme âgé embrasse un jeune qui ne doit même pas être majeur. Le vieux a dans sa mains le pénis du plus jeune avec lequel il joue, le plus jeune pleur et le supplie d'arrêter mais le vieux refuse de se stopper, il a sur le visage un sourire sobre, malsain et tordu qui me retourne l'estomac rien qu'à sa vue. Je sens mon corps trembler, des frissons parcourent l'ensemble de mon être, je recule d'un pas et dégluti devant le spectacle qui s'offre à moi. J'allais détourner le regard pour fuir la scène mais quelque chose viens empoigner ma tête me forçant à regarder ce qui se déroule sous mes yeux. Quelque chose de gluant et humide s'étale sur ma joue, ne pouvant rien faire je me laisse pleurer. Une main descend le long de mon dos et finie sa course sur mes fesses qu'elle empoigne avec force, ce qui me laisse échapper un petit cri de douleur. À mon cri la main dévie sur mon entre jambes et passe dans mon pantalon et mon caleçon pour venir en contact avec mon manche. Je sens le souffle putride et chaud de l'homme caresser mon cou, son haleine sent le tabac et l'alcool, je panique de plus en plus perdant tous mes moyens. L'homme commence à se frotter contre moi tout en continuant de toucher mon pénis, je sens quelque chose de dur contre moi. En même pas une seconde je le retrouve sans bas, l'homme attrape la chaîne m'obligeant à m'agenouiller devant lui, je me retrouve face à son pénis tout dur encore caché par les tissus de ses vêtements.

"Lemon, violence + viol"

J'ai un espoir mais celui-ci vient d'être réduit à néant quand je vois qu'il déboutonne son pantalon qui glisse le long de ses jambes, il sort son membre de son slip et me le tend. Il attrape violemment ma tête et la plaque contre son pénis déjà bien humide, je lutte, je n'ouvre pas la bouche mais sa forte main vient exercer une pression sur celle-ci me forçant à l'ouvrir complètement. Une fois ouvert il vient la pénétrer violemment, il pose alors sa deuxième main sur l'arrière de ma tête et entamé des mouvements énergiques de vas et viens en moi. Je n'arrive plus à respirer, je le frappe avec mes mains mais en vain, l'homme renforcé sa poigne et je sens alors son membre grossir et durcir dans ma bouche. Il pousse des grognements de plus en plus fort et dans un dernier gémissement se vide en moi, je sens un liquide chaud et épais se déverser dans ma bouche, il se retire et je crache en toussant le contenu de ma bouche pour pouvoir respirer de nouveau. L'homme ne m'en laisse pas le temps, il m'attrape avant de me jeter sur un vieux matelas qui semble avoir énormément servi avant. Une fois allonger dessus, il m'attache à la barre qui se trouve juste au-dessus du matelas , il vient ensuite se placer entre mes jambes qu'il écarte avec envie, j'ai envie de vomir et de mourir, je pleur mais alors qu'il allait me pénétrer, une personne entra en trombe dans la salle et lui dit.

- Arrête de jouer avec lui, les anciens le cherchent et ils savent que tu l'as emmener, s'ils te choppent et qu'ils apprennent que tu l'as touché tu seras castré avant d'être torturé à mort.

L'homme me détacha et me jeta mes vêtements, je me rhabillai en vitesse, le jeune homme m'attrape le bras et me dit.

- Nous allons rejoindre les autres.

Je le suivis en silence, le remerciant de m'avoir sauvé.

chaud et froidOù les histoires vivent. Découvrez maintenant