PDV Nohemie
Je regarde ma louve déstabiliser faire face à l'inconnue, ses yeux sont remplis de tristesse de peur mais aussi de colère. Je ne comprends pas vraiment l'histoire mais j'ai compris que cette femme ressemblait beaucoup à sa défunte copine. Alors que j'allais intervenir et aider ma copine à éclater la gueule de cette pute je sens quelqu'un me saut sur le dos avant de me projeter durement au sol. Je m'écrase violemment et lâche un petit cri de douleur, j'entends un rire de femme que je déteste au plus au point. Je me relève énervé et sors mes canines pour montrer à mon adversaire que je suis prête à la tuer. Devant moi Maria ricane, elle tourne la tête vers Cassandre et me dit.
- Une fois que le double de Violette l'aura tuer tu seras mienne, je te violerai et tu deviendras mon jouet.
Je la regarde choquée comment peut-elle parler de son amie comme ça, comment peut elle autant insulté son alfa. Je ne comprendrais jamais vraiment ce que pensent les loups et leurs manières d'agir entre eux. Je n'eut pas le temps d'agir qu'elle se jeta sur moi, je tombai de nouveau au sol face à la vitesse avec laquelle elle m'était tombé dessus. Elle s'assoit sur mon bassin bloquant avec ses jambes la mobilité de mes bras. J'ai beau me débattre je n'arrive pas à bouger, je le regarde et croise son regard tordu et malicieux qui ne signifie rien de bon pour moi. Elle pose ses mains sur ma poitrine et les balades dessus, je fais tout pour ne pas craquer. Elle ricane et approche dangereusement ses lèvres de moi mais d'un seul coup une ombre vole et vient rapidement percuter Maria qui fit emporter avec ce qui lui était rentré dedans. Je me relève et remarques Cassis les yeux rouge sombre qui me regarde rassuré, elle s'approche de moi et me tend sa main pour m'aider à me relever. Elle me sourit et vient embrasser mon front tendrement puis se tourne vers l'endroit où avaient fini les deux autres filles qui semblaient avoir du mal à bouger. Ma louve me souffle avant de partir.
- Je sais que tu peux lui éclater la gueule, reviens-moi en vie, je t'aime.
Je rougis et sursautai de surprise, ce n'était pas la première fois qu'elle me disait qu'elle m'aimait mais ses mots me faisaient toujours autant d'effets. Je lui souris et part en direct des filles après que Cassandre est envoyé son adversaire plus loin contre un mur. Dans un élan de courage que je venais d'obtenir j'attrapai la louve par le col et la frappa violemment à plusieurs reprises. Elle essayait de se défendre en me donnant des coups que j'esquivais avec facilité. J'en avais marre et voulais en finir aussi vite que possible. J'entendis des cris masculins je tournai la tête vers la source de ses voix et remarquai avec soulagement et joie mon frère et Alexis qui semblait nous encourager. Je rêves ils se croivent au spectacle ou quoi un peu d'aide serait là bienvenue. Je ris et écrasa au sol la tête de Maria qui cracha du sang sous un cri effroyable douleur. Je m'assis sur elle comme elle l'avait fait pour montrer ma supériorité à elle et me venger d'elle. Elle me regarde faiblement et je n'aperçu aucune haine ou colère dans ses yeux juste de la paix et du vide. Elle me regarda et me dit.
- Tue-moi.
- Pardon ?
Je frémis à sa demande, je ne m'y attendais pas et là ce bouscule dans ma tête pleins de questions. Deviendrais-je un monstre en la tuant ? Dois-je la tuer ? ... Tant de questions sans réponse qui me perturbait. Soudain une voix me sortit de mes songes. Maria me regardait le regard rempli de larmes, elle de dit en reniflant.
- je veux rejoindre ma bien-aimée, je ne veux plus être pris pour esclave, j'en ai marre achève-moi.
- Je ne sais pas ... Je ne pense pas en être ...
- S'il te plaît.
Elle me regarde avec pitié et ses yeux se font suppliants. Je peux sentir sa souffrance, je soupire un bon cou et lui répond.
- J'accepte.
Elle me sourit faiblement avant de fermer les yeux et de me souffler un "merci" avant que mes canines viennent lui arracher la trachée. Elle se vide de son sang sous mes yeux et pourtant je ne ressens aucune tristesse mais juste un vide. Je regarde mes mains qui venaient d'ôter une vie. Je me levai après cinq bonnes minutes à les observer et je partis rejoindre les garçons. Arrivée à leur hauteur, je les prends dans mes bras heureuse qu'ils soient sain et sauf. Un cri de douleur nous fis sortir de notre bulle de confort c'est là que je me rappelle que mon cœur se bat encore contre cette mystérieuse femme. Nous nous tournons vers elle et observons le combat qui se déroule sous nos yeux.
PDV Cassandre
Je suis totalement perdu, je sais que c'est un ennemi et pourtant je n'arrive pas à la voir comme telle peut-être à cause de sa ressemblance parfaite avec Violette. Je me prends un coup violent qui m'envoie manger le sol, je le heurte avec force et douleur, je grogne mais commence à voir flou. Je décide de fermer les yeux et de réfléchir et le concentré même si je sais que le moment n'est pas propice. Je sens des coups meurtrirent mon corps mais je n'en prends pas garde, je fais le vide dans ma tete cela me semble durer une éternité, j'entends les cris apeurés de mes amis au loin. Il faut que je la tue car elle n'est pas elle, je ne la laisserais pas me pourrir la vie et entacher son souvenir. J'ouvre d'un seul coup les yeux, je peux sentir qu'ils ont changé de couleur, je le relève et pousse violemment et brutalement contre le mur. Tout devient flou autour de moi je ne vois plus qu'elle, je n'entends plus aucun bruit. Elle me regarde en souriant mais pas un sourire mesquin mais au contraire elle me regarde d'un sourire doux comme elle en a le secret. Je dois arrêter de penser à ça ce n'est pas elle. Je lui assène un violent coup de poing dans le visage qui lui fait perdre connaissance. Je m'approche d'elle pour la finir mais je fus stoper par son beau visage triste et couvert de larmes. Mon coeur ratait un bon et arrête de battre. Je sais que je dois la tuer mais je n'en ai pas la force, qu'est-ce que je vais faire ?
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chaud et froid
Paranormaldepuis des millénaires deux clans s'affrontent dans un combat de domination. d'un côté le clan des vampires et de l'autre les loups-garous. mais les temps passe et les nouvelles générations ne voient pas le sens de cette guerre, ils semblent même he...