L'ALPHA ROYAL ET L'OMÉGA INNOCENT Vol.1

IV.

Salut la compagnie ! 
Voici enfin le chapitre 4 de AROI ♥️
Attention, sortez de l'eau bien fraîche 😂

En média, retrouvez Arthur et Muglerina. C'est dingue de voir à quel point ils sont opposés physiquement. Arthur représente bien le mal et Muglerina le bien ♥️

Il était tétanisé par la vue que je lui offrais. Moi au dessus de lui, mes sombres cheveux encadrant sin visage comme pour nous isoler du reste du monde. Muglerina qui était paralysé par la peur, ne parvint pas à baisser la tête pour éviter mon regard. À la place, il ferma les yeux pour se murer dans l'obscurité et tenter de serrer ses jambes pour cacher son corps. Mais mon genou était entre ses cuisses l'en empêchait.

— Je dois te préparer car me recevoir n'est pas une évidence pour un corps aussi pur que le tien.

Sans me glorifier, mon sexe était très gros, peu d’oméga me supportaient. Par moment, je devais blesser mes partenaires pour qu'il puisse m'accueillir en eux. Ce petit chiot qui tremblait n'y échapperait pas.

Il y avait avoir mal et… avoir mal. Muglerina devait prendre du plaisir dans la souffrance, et non souffrir inutilement. J’étais sadique et attendais une soumission parfaite de de ce garçon, mais le briser contre sa volonté ne m’intéressait pas. Je voulais qu'il éclate sa pureté en acceptant d'être mien.

Très nombreux étaient les alphas qui violaient malheureusement ces omégas, mais ce n’était pas mon cas. Perso ne me résistait. Muglerina n’était pas différent de mes amants, juste inexpérimenté. Mais dans ses yeux, je lus l'entièreté de ses sentiments.

Alors sans le prévenir, je baissais son pantalon sur ses cuisses, avant de le faire rouler sur lui-même pour le lui ôter. Puis, le vêtement au tissu soyeux valsa hors de ma vue, atterrissant quelque part dans la salle du trône.

— Mon roi… !

Je l’aurais puni en tant normal, mais étrangement, cela sonnait mieux que maître. Ainsi, j’avais l’impression d’exercer sur Muglerina une autorité indiscutable.

Il me suppliait parce qu’il appréhendait ce moment, mais sa petite voix d’oméga trahissait son excitation. Je ne comptais pas le pénétrer tout de suite. Du moins, pas avec mon sexe. Un doigt me suffirait pour le faire jouir en quelques instants. Alors sans prendre le temps de le lubrifier, j'en insérais un dans ses fesses.

—Ah !

Il ne parvint pas à retenir sa voix et ses larmes. Personne ne l’avait encore touché comme je le faisais, mais je devais stimuler son corps. Il était la première vierge que je rencontrais et je devais prendre quelques précautions pour ce qui allait suivre par la suite. Muglerina ne serait le seul avec qui je coucherai. Il n’était pas question de lui être fidèle puisque c’était à lui de l’être en tant que parfait oméga.

—Respire.

Si je ne brusquais pas réellement les choses, je ne jouais pas au gentil pour autant. Muglerina devait simplement apprendre à trouver du plaisir dans la soumission parce que je ne passais jamais par les préliminaires. Je trouvais cela bien inutile et terriblement ennuyant. Je n’aimais pas prendre mon temps pour m'enfoncer dans un petit cul. Mais si prendre ce garçon par la force était tentant, je me retenais. Il était là, les mains clouées au dessus de la tête, à saliver comme un chiot qui apprenait à aboyer. Il était là, à pleurer comme un enfant. Il dégageait une odeur sucrée et très sensuelle, mêlée à sa sueur. Muglerina était un appel à la débauche. Il méritait d’être baisé par quelqu’un comme moi.