XXXI.

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Hello !

Voici le chapitre 31 est au rdv, un lemon pas comme les autres... Si vous avez découvert les ronces pour Aerin et Riki, venez découvrir le délire d'Arthur !

En média, un dessin inédit de Lily-Lise en cours de réalisation ✨

Perso, bonne chance Mugi 😊

Chapitre écrit 2018, corrigé en janvier 2020

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Les travaux venaient de commencer dans l'immense bâtisse abandonnée. Muglerina s’était remis de sa chute après avoir pris du repos. Si nous avions vu Albert ce matin, nous profitions d’un moment de paix pour nous installer dans mon bureau afin qu'il puisse m’apprendre à lire et à écrire. Pour se donner un air plus mature, il mit des lunettes sur son nez et tressé ses cheveux argentés en un natte sur le côté.

Aujourd’hui, nous nous concentrions sur l’écriture. Tel un enfant, j’apprenais à écrire les lettres sur un une feuille à carreaux. Muglerina m’expliqua l’importance des lignes pour faire des lettres de taille différente et apprendre à bien les former. Et il me faisait recommencer à chaque erreur en tapant sur le bureau avec un tas de feuilles enroulées dans sa main. Mais la leçon se passait plutôt bien, je me rendais simplement compte de la difficulté de cet apprentissage et du temps qu'il a dû passer lui-même plus jeune. Muglerina me félicita quand même lorsque j’arrivais à la fin de ma ligne. Il prit ma feuille pour vérifier de lui-même avant de se mettre à rougir en regardant mon écriture.

—V-Vous avez une belle écriture, dit-il oralement.

Il rougissait, heureux d'apprendre quelque chose de nouveau sur moi. Il était doué pour me troubler et faire battre mon cœur.

Nous arrêtions la leçon pour aujourd’hui après avoir passé du temps à lire. Petit à petit, mes efforts payaient, mais ce n’était pas assez. Je devais rester concentré pour apprendre le plus rapidement possible. Ce savoir était rare, et bon nombre de rois ne savaient ni lire et écrire. Arsan avait eu la chance d'apprendre aux côtés de ma mère, plus jeune.

En tentant de quitter la chambre, j'attrapai Muglerina par la taille pour coller son dos contre mon torse. Il se mit à trembler et à rougir en sentant à quel point ma verge s’était durcie contre ses fesses. En le bousculant contre la bureau, il atterrit sur le ventre en faisant tomber ses lunettes quelque part sur le sol. Constatant que ses cheveux étaient noués, je tirais délicatement sur l’élastique pour les lâcher et ainsi, admirer leur beauté.

Si je couchais avec bon nombre d'individus, Muglerina restait le seul à me mettre dans cet état. Et j’appréciais qu'il ne lutte pas. En le reversant sur le bureau, nous avions dégagé certains de mes documents et livres par terre. Une bougie allumée attira mon attention. Maintenant que nous étions mariés et qu'il n’était plus vierge, je pouvais tester ses limites. Si jusqu’ici, nous avions eu des rapports ordinaires, j’allais montrer à Muglerina ce que je faisais en règle générale dans son dos, avec mes amants.

Je déchirai sa blouse blanche à l'arrière, dévoilant son magnifique dos et sa chute de reins sensuelle. Puis, je vins descendre son pantalon en tissu sur ses cuisses, le prenant par ses hanches pour remonter ses fesses et ainsi, le mettre dans la position idéale. J'adorais son cul, bombé. Il était facile à malaxer entre mes doigts.

—M-Mon roi…

Pour ajouter un peu de piment à ce petit jeu qui promettait le paradis à Muglerina, je vins bander ses yeux avec un morceau de sa blouse, déchirée un peu plus tôt. Se préparant psychologiquement, il planta ses ongles dans le bois du bureau pour avoir un point d’appui, bien que peu stable. Il en aurait besoin car je ne comptais pas l’épargner.

La bougie fondait à vu d’œil. Je la pris en main, ne craignant aucunement la chaleur. Néanmoins, je ne pouvais pas en dire autant de Muglerina qui allait devoir se soumettre entièrement pour ne pas se blesser. Il devait me prouver sa confiance et son amour en résistant à mes tortures. M'aimer était une chose, ça je l'avais compris lors de notre lune de miel. Mais le prouver en était une autre. Et je n’étais pas mielleux de nature. Les roses, les sucreries et les paillettes ne me correspondaient pas.

Alors, je versais de la bougie fondue sur son dos, le faisant crier et bouger. Mais je vins embrasser sa morsure pour le rassurer et suçoter le lobe de son oreille, grognant tout près de lui. Doucement, je lui dis de ne pas bouger et de profiter car dans la souffrance consentie, il y avait un grand plaisir à en tirer. Alors bien que difficile à supporter, il fit des efforts pour tenir le coup. Voyant qu’il était prêt à me prouver ses sentiments, je rependais une fine couche brûlante sur sa chute de reins. Bordel, il me rendait dingue avec sa peau qui marquait à tout bout de champ. Ce rouge lui donnait un air sensuel et de mes doigts, je prenais plaisir à étaler le liquide sur mes initiales.

Muglerina gémit contre le bois du bureau, versant quelques larmes de plaisir et de souffrance. Tel était la réaction que je désirais voir dessiner sur son visage. Je versais de la bougie dans ma paume pour venir étaler la substance sur ses fesses que je malaxais durement. À cela, j’accompagnais mes mouvements de fessées qui faisaient claquer sa peau contre la mienne. Je prenais un profond plaisir à le tourmenté, et je n’avais rien montrer de ce que je savais faire. Comme j’étais particulièrement généreux aujourd’hui, je voulais bien lui montrer un avant goût de mon amour pour lui.

Je pris la bougie qui fondait toujours dans ma main, pour rependre le surplus sur ma queue. C’était de loin la meilleure façon de me lubrifier après sa bouche.

—Ah !

Il laissa échapper un cri en sentant mon gland se presser contre son intimité. Je poussai un bon coup pour forcer le passage étroit pour glisser au plus profond de lui. Muglerina se dandina face à ma présence et à la brûlure que je lui infligeai à l'intérieur. Mais bordel, il était fait pour ça ! Cet oméga avait une véritable sensualité à exploiter et le voir remuer ses hanches pour en demander plus me conforta dans ce que je pensais déjà de lui. Seule une chienne pouvait prendre autant de plaisir dans tant de souffrance.

Ma torture ne faisait que commencer.

Si ce chapitre vous plaît, n'hésitez pas à voter et commenter :3 et je vous laisse avec la description d'un personnage qui devrait beaucoup vous parler :)

Nom : Elhía
Prénom : Ririna
Âge : ???

Nature : Oméga

Taille : 1m55
Poids : ???

Caractéristiques physiques :  cheveux roses / yeux roses
Caractéristique comportementales : douce, avenante et courageuse

Ririna est une amie d'Arthur et mère d'un Bêta. Sa santé est cependant très fragile mais son souhait le plus cher et de pouvoir donner un frère ou une sœur à son fils, Abell.



L'ALPHA ROYAL ET L'OMÉGA INNOCENT Vol.1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant