15.

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✨ Assalamu alaykoum ✨

" Ces relations humaines si compliquées. Je t'aime ce soir, je te hais demain "

Chapitre 15 :

Je m'enlève de lui complètement épuisée, il est quatre heures. Je file directement dans la douche et quand celle-ci fut fini je me rend compte que ma mère ne sait pas où je suis. Je remet rapidement mon ensemble et sors de la salle de bain. Je vais dans le salon mais ne trouve personne, je cherche un peu partout dans l'appartement mais personne n'y est. Il a dut sortir.

Je vais dans sa chambre, prend un bout de papier et note " Je suis reparti chez moi, je reviens demain dans l'après-midi pour voir Ibra. " je pose le mot sur son bureau puis m'en vais en direction de chez moi.

Je suis couché dans mon lit et c'est là que je réalise que ce n'est pas bien du tout ce qu'on a fait, il va quand même se marier...

Je m'endors finalement de fatigue.

~

Je sors de chez moi habillé comme ça :

Il est 17 heures et j'ai dormi absolument toute la journée je suis juste k

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Il est 17 heures et j'ai dormi absolument toute la journée je suis juste k.o.

J'arrive devant la porte de chez Imran, sa mère est toujours chez moi entrain de faire à manger avec la mienne. Je toque et quelques instants après, il m'ouvre.

- Salam. Dit-il sans me prêter un seul regard

- Salam...

Puis il part de réinstaller sur le canapé.

Okay... c'est un peu ce que je craignais ...

Ma fierté algérienne en prend un peu un coup, je décide de garder la tête haute et de ne pas oublier mon but, c'est-à-dire venir voir comment mon pote va.

Je rentre à mon tour, referme la porte derrière moi et me dirige sans un mot dans la chambre du fond. Je retrouve Ibrahim toujours couché. Je m'approche et lui touche le front, il n'est pas chaud mais il sursaute à mon touché.
Je ris face à sa réaction.

- Bonjours. Dis-je en m'asseyant sur une chaise.

- Salam... ça va ? Dit-il en se frottant la tête.

- C'est plutôt à toi que je devrais demander...

- Smeh pour l'appelle hier soir, j'était complètement DE-FON-CE.

- Pas grave, je préfère que tu me « dérange » plutôt qu'il t'arrive quelque chose.

- évite de me disquette, gamine.

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