Lui et moi

8.

Quand mon médecin est partit, j'éclata en sanglot, je voulais ouvrir mes yeux. Je m'énervais pour rien, faut que ça se fasse naturel sinon je me brisera physiquement.

Ma famille arriva.

Vous vous demandez comment je peux savoir ? C'est tout simple, à vous expliquer, ils ont frapper mais je n'ai pas pu répondre parce que je ne peux pas parler. Ils sont comme même rentrés.

J'ai sentis leurs présence s'approcher de mon lit.

Tout d'un coup, une main prend ma main pour que nos main viennent se croiser. Taylor. Oui, le Taylor qui me trouble à chaque fois, son parfum, son arrogance . Il est ici, à mon chevet, en tenant ma main.

Il me donne la force d'ouvrir mes yeux.

Il prit la parole en premier :

- Euh ... Salut, c'est moi, Taylor. Tu nous manques tous mais je ne comprends pas ce qui s'est passé pour que tu sois si affaiblis en si peu de temps après ta dispute avec ta soeur.

Tout le monde essaya me parler mais en vain je n'arrivais toujours pas à ouvrir les yeux 

Je me sens si faible devant eux, je veux leur montrer que je ne suis plus faible. 
Je veux tout raconter a Taylor, l'histoire de ma mère, de mon père et de mon viol. Je sais que j'ai une confiance avec lui, mais j'ai peur ce qui m'arrivera par la suite. 

Ces mecs me retrouveront pour refaire la même chose. Je me dis que c'est du passé tout ça mais non, en réalité, ils reviendront encore, une fois. En plus, mon père est professeur dans mon lycée. Il faut que j'avertisse mes <<vrais parents>> pour me protéger. 

Au moment que ma famille affranchissent le seuil de la sortie, je bougea mes mains et mes yeux clignotaient toutes les 5 minutes. 

Taylor et moi avons toujours les mains croisés.

Il appela ma soeur : 

- Je ne sais pas si c'est mon imagination ou moi qui parle, mais j'ai senti sa main bougé et ses yeux ont clignotés.

Ma soeur lui répondit : 

- T'es sûr ? Si ce n'est pas vrai, tes blagues sont de mauvais goût pour moi!

- Je te jure, je ne rigole pas ! Beverly je sais que tu m'entends et tu peux bouger , alors montre leur de ce que j'ai vu à l'instant c'est vrai.

J'essaya de bouger pour leur montrer que Taylor avait raison. Tout d'un coup, j'ouvra mes yeux tout doucement comme m'avait recommandé mon médecin.

- Je vous l'avais dit !

- Ok, ok ! C'est bon je te crois ! 

Ma mère prit la parole : 

- On attendait que ça ! Tu nous as fait une gros peur bleue. On vas te laisser te reposer et surtout je pense que Taylor veut te parler et rester à tes côtés donc, on y va! On se revoit demain dans la journée et j'avertis ton médecin. 

Tout le monde partis en me faisant un baiser sur le front.

Il ne resta plus que moi et Taylor

Je pris la parole : 

- Salut, lui dis-je avec une voie enrouée, ça me faisait mal à la gorge dès que je parlais, en réalité.

- Ça y'est ! Enfin, tu me parles et t'as enfin ouvert les yeux. Ne recommence surtout pas à refaire . Tu es tombé dans le comas dans mes bras, j'ai crû t'étais vraiment morte ! Heureusement, les urgences étaient arrivés à temps. Maintenant, je te surveillerais tous les midis pour que tu manges. Tu m'as eu la première fois mais pas la deuxième fois. 

- Euh... désolé si je t'ai fais ça. J'aimerais tellement te raconter ce qui s'est passé mais c'est complètement difficile à te raconter en plus la gorge qui me brûle et les médecin t'ont rien dit ou trouvé quelque chose.

- Non, non. Qu'est ce que je devrais savoir ?

- Si, je te le dis, promets moi de ne le répéter à personne?

- Je te promets !

- Bon, je me lance

- Je t'écoute

- C'était après ma dispute avec ma sœur, je suis parti, et , je me suis trouvé dans cette ruelle, à 20 min de chez moi. Je ne sais même pas comment je me suis retrouvé dans cette ruelle. Il y avait deux hommes aux deux coins de la ruelle. Je commença à paniquer. C'est là , que le cauchemar a commencé. Ils m'ont ......., commençais-je à pleurer de toutes mes larmes, violé et après avoir fait ça, en partant , ils ont dit  << on se reverra très bientôt, ma beauté>>

- C'est grave,ce qu'ils t'ont fais, et, maintenant, tu as peur et tu es devenu faible. Mais, je te promets tu ne vas plus être seule je te protégerais en allant te chercher et te ramenant pendant la semaine des cours. Tu n'es plus toute seule, d'accord. 

- Oui

Il me prit dans ses bras, j'ai compris à ce moment-là, dès que je serais dans ses bras, je serais en sécurité.