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Dans le chapitre précédent ...

<< Tu m'as défendu ? Et, ce baiser c'était quoi ? Ce baiser était mon premier . Pour toi, ça n'a pas d'importance à tes yeux. Mais, moi ça... >>

Je n'eus pas eu le temps de finir ma phrase qu'il m'embrassa passionnément, puis, langoureusement.

C'est  comme ça, que je rentrais chez moi.

....

À peine que j'affranchis la porte d'entrée sur le paillasson que ma mère m'attendait avec les bras croisés et le regard neutre sur moi .
Je me faufila rapidement dans les escaliers pour me diriger dans ma chambre . J'étais apeurée ce qu'elle allait me dire .

Je ne sais pas ce qu'elle allait me dire . Soit me faire la morale ou bien me punir ou bien me confisquer mon téléphone ou mon ordinateur portable ou bien ma télé.

Je ne la connais pas si bien encore pour le savoir mais dans toutes les manières quoi qu'il en soit, je devrais affronter cette situation et devrai assurer mes actes. Je n'aurai aucune excuse de ce que j'ai fait aujourd'hui.

J'étais tellement dans mes pensée que ma mère me demanda immédiatement descendre les escaliers sans ronchonner .

À ce moment là, j'étais plantée au milieu des escaliers. Toujours à la vue de ma mère .

J'aurais dû me dépêcher d'aller dans ma chambre que d'être plantée là dans mes pensées .

Maintenant, je vais affronter la réalité .

Je suis apeurée. Je fais quoi ? Me faufiler ou descendre pour affronter les serments .

Je voudrais me faufiler mais tête en l'air comme je suis je ne fais pas ce que mon cerveau me dit de faire . Mon cœur lui a décidé autre chose .

Affronter le démon . Ma mère . Sermonner .

C'est parti ! Youpi ! Je rigola de façon ironiquement.

Ma mère prend la parole en faisant illusion à cette après-midi.

<< Ton lycée m'a appelé dans lequel tu étais sois absente pendant les deux premières heures de cours de l'après-midi . Tu m'expliques pourquoi tu étais absente ? >>

<< Maman ce n'est pas ma faute. >>

<< La faute de qui alors ? Du chien ? De ta soeur? C'est bon , tu commences à m'ennerver depuis que tu es arrivé, tu t'isoles. Et, si on veut te parler des choses qui sont passées, tu te renfermes. Maintenant, et, à partir d'aujourd'hui, ça sera fini, tout ça. L'isolement et le renferment est définitivement finies depuis que je l'ai prononcées. Pour cette fois, tu n'auras rien et je ne dirais rien à ton père mais la prochaine fois, tu ne t'en tiras pas si facilement, crois-moi, jeune fille. Maintenant, tu peux filer dans ta chambre pour faire tes devoirs. Je t'appelle pour dîner. >>

Je me dépêcha de me faufiler dans ma chambre.

Le dîner s'approcha très vite  car avec ses devoirs que les professeurs nous ont donnés, on ne peut pas voir l'heure passée.

Ma mère a raison de ce qu'elle a dit mais je suis pas prête , y'a quelques mois j'étais encore dans un foyer et aujourd'hui dans une nouvelle famille que je dois affronte chaque matin, chaque soir et quelques midis quand c'est le week-end. C'est difficile pour moi. Croyez-moi. Du jour au lendemain, vous ne devenez plus une orpheline mais une adolescente avec une famille déjà composée et réunie dans une ambiance chaleureuse et joyeuse, respirant la joie de vivre.

Lui et moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant