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holà ch¡cas 🀄️


"Plus fort dans la lumière quand t'as tout bâti dans l'ombre"




N A M I R A






J'aperçus plusieurs silhouettes à mes côtés, toutes masculines. Je vis vaguement qu'on m'emporta dans la cave du bâtiment. Ça s'annonçait mal.

On me tira par les cheveux jusqu'a une cave vide, ou seul une table y était posée. C'est d'ailleurs sur celle-ci qu'on me projeta avant de déchirer brutalement mon pantalon, je me mise à hurler de tout mon corps, on me mettait des coups de partout tout en déchirant mes vêtements d'une telle violence que je fini par abandonner les cris, voulant limiter les coups.

On fini par m'allonger de force, ils maintenant fermement mes poignets contre la table pour que j'arrête de me débattre. Je les suppliais comme je pouvais de me laisser la vie sauve, j'implorais dieu pour qu'il me vienne en aide.

Mais il n'entendait pas mes prières.

? - Nafwel, tu la prends dans quel sens ?

C'est lorsque je compris leur but que je me remise à hurler, mais l'un d'eux se mit à m'étrangler d'une force démesurée donc je fus directement le souffle et la voix coupée. J'étais tétanisée lorsque je sentis une dizaine de mains baladeuses sur mon corps, j'aurai tant aimé me dire que c'était qu'une cauchemar et me réveiller d'un instant à l'autre, mais ça ne s'arrêtait pas.

Ils m'avaient arrachés mon bandage sur la cuisse que me renouveler une infirmière quotidiennement. Ils m'appuyaient sur la cuisse pour pouvoir m'entendre hurler.

Personne ne pouvait m'entendre d'ici, la porte de la cave était blindée et insonorisé. Il fallait que je prie pour qu'un passant descende dans la cave, mais c'était peine perdue...

Ce fameux Nafwel poussa les deux hommes qui m'appuyaient sur la cuisse pour pouvoir se positionner face à moi, il m'écarta les cuisses bien distinctement et il le fit...

Il m'avait pénétrée, moi Namira.

Je lâcha un énième cri du peu de forces qui me restait... J'étais à bout, je fixais un point invisible pour ne pas croiser leur regard en laissant mes larmes ruisseler le long de mes joues.

Puis, lorsqu'il finit de se vider, c'est les neuf autres hommes qui s'y sont mit à la chaîne...

Je vivais le pire cauchemar de ma vie, je souhaitais perdre la vie à cet instant précis que de continuer à subir ce massacre.

J'avais terriblement mal.

Au bout d'une heure d'acharnement, ils n'en avait pas fini avec moi... C'était bien loin d'être fini, ouais.

Il m'ont recouvert d'un draps avant de me transporter dans un fourgon.

Je me retrouvais ensuite dans une pièce vide, celle où j'allais subir maintes et maintes choses avant de pouvoir me libérer.

(je vais essayer de résumer les jours à suivre puisqu'ils seront assez répétitifs et je ne veux pas tourner vers les chroniques de kidnapping)

𝐍𝐚𝐦𝐢𝐫𝐚 - 𝐋'𝐚𝐧𝐠𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐭é𝐧è𝐛𝐫𝐞𝐬.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant