"ya ceux qui te détestent tout haut et ceux qui t'aiment en scred "
Z A R I N A
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Comme il y avait pratiquement personne dans la sale principale du squat au rez-de-chaussée, je me dis que les personnes qui dormaient à l'étage allait subir un massacre, mourir étouffés et brûlés... Il y avait un bébé dans une des chambres. Je me sentais complètement coupable, tout ça pour de l'argent !
Je me suis mise à fondre en larmes tout en montant à l'arrière de la voiture.
Zarina – Mennen.. Y avait un bébé, celui d'une des filles avec qui je m'étais liée d'amitié.. On-on peut pas faire ça, sors-le !
Mennen – Zarina, c'est simplement la roue qui tourne. Ils ont violé ma sœur, je leur vole une vie.
Zarina – Mais le bébé n'a rien demandé !
Mennen – Tu crois que ma soeur avait demandé heja (quelque chose) ?
Zarina – Non...
Mennen – Je leur rend la monnaie de leur pièce.
Il était tellement méchant et cruel dans sa manière de voir les choses qu'il me répugnait.
Zarina – Je peux m'en aller, maintenant ?
Kazim est monté dans la voiture au même moment, à côté de Mennen.
Mennen – J'préfère te ramener chez toi.
Je ne protesta pas contre ce qu'il voulait faire. Ma tête collée contre la vitre teintée de la voiture, je me mise à pleurer en silence.
Kazim – On va réveiller Nafwel, il va falloir être prudent frèro.
Mennen – T'inquiète.
N A M I R A
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