Chapitre Neuf

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Après avoir fini de tousser, je me redresse légèrement pour regarder Gabin qui tien d'énorme sac.
Il me sourit gentiment et me les tends.
À l'intérieur, j'y découvre mes affaires laisser chez cet homme et d'autre habit dont je ne connaissais pas l'existence.
Il les a acheter, pour moi ?

-Hors de question, fais toi rembourser. Lui dis-je en lui tendant le sac.

Et sans le prendre, il me fait dos pour ensuite rentrer dans la salle de bain. J'ai beau lui crier que je refusais son cadeau, rien n'a faire. Il reste aussi buté.

Je prends alors une grande inspiration et sors mes affaires du sac, ouvre mon sac à main pour en sortir mon mini album. Soulagé qu'il n'est pas bouger de place, je le range pour sortir les habits que monsieur ma acheter.
Je découvre avec surprise ses choix de vêtements.
Je souris, les plis et les rangent.

Quand on est revenu de l'hôpital, Gabin ma fait promettre de toujours rentrer et ceux même si on c'était disputés avant.
Ce qu'il était adorable !!

OoO

-Me sentir libre. Et pour que ça arrive, un jour, je prendrais de grande, longue et merveilleuse vacance. Dis-je en répondant à sa question. Et toi ? Ton rêve.

Il réfléchis quelques instants avant de tourner sa tête vers moi.
Ça fait peut être maintenant deux bonnes heures que nous sommes allonger sur se lit, à se poser des questions, plus farfelus les unes que les autres.

Un sourire triste naît sur son visage, puis il dit :

-Mon rêve, c'est de pouvoir me réconcilier avec ma famille.

Un peu surprise de cette soudaine révélation et légèrement mal à l'aise, je me tourne sur le côté et replace correctement ma tête sur son bras. Yeux dans les yeux, je lui demande ce qu'il s'est passer.

-Ma mère se fessait battre par mon père, je n'étais pas au courant jusqu'à une soirée un peu arrosée. Mon père a commencer à frapper ma mère, en lui demandant pour quoi elle l'avait tromper. Il se mets à regarder le plafond et continue son récit : Ma sœur était au courant, mais elle ne fessait rien, alors je me suis lever. Je l'ai attraper par le col. Et je l'ai frapper à mon tour. Il se retourne vers moi, pour murmuré : C'est aussi se soir là où j'ai appris que je n'étais pas le fils de mon père.

Surprise de son histoire et de son honnêteté, je reste allonger, la tête sur son bras. Je pose ma main sur son torse et lui souris du mieux que je peux, pensant que ça pourrais l'encourager, le réconforté.

-Et toi, ta famille, vous vous entendez bien ? Demande t'il en me souriant gentiment, tout en enroulant mes cheveux autour de ses doigts.

Je n'ai pas envie de répondre, pas envie de lui dire que mon père m'avait battu à nombreuse reprise, pas envie de lui dire que ma simple présence leur donner envie de gerber et que pour eux, je n'étais qu'une simple erreur de la nature.
Ma mère, elle, n'a jamais pensée comme cela, non, elle, elle pensait que j'étais atteinte d'une maladie et qu'il fallait me soigner.

-Je n'ai pas de famille. Chuchotais-je doucement en détournant le regard.

La bouche entre ouverte, Gabin fronce des sourcils. Ses pied frôle les miens.
Je souris faiblement à ses paroles :

-Qu'est-ce que ça veux dire ?

-Ça veux dire ce que ça veux dire. Répondis-je simplement avant de commencer à m'endormir.

Nathan TERMINÉ Où les histoires vivent. Découvrez maintenant