Assassination Classroom

Chapitre 8

Je regardai derrière moi, c'était Karma.

- Pourquoi tu m'entoures toujours de tes bras ?

Karma : Pour t'emmerder ...

- Mm ... tu sais que si je n'étais jamais venue dans votre classe, peut - être que j'aurais vécu une vie beaucoup plus calme ... qui sait ?

Karma : Arrête de mentir, on voit bien que tu t'y plais.

- Et le plus dur c'est que c'est vrai ! Karma, pourquoi avoir quitté ta famille ?

Karma : Je ne l'ai pas quittée, ce sont eux qui sont partis ... en me laissant seul.

- Ah ... mais sinon wouah !!

Il m'avait portée comme un sac à patates et m'avait posée sur mon lit en se mettant au - dessus de moi.

Karma : Assez parlé de moi, et toi pourquoi as - tu une tutrice ?

- Je ne peux ... pas t'expliquer !

Karma : Pourquoi ?

- C'est trop compliqué, je te promets qu'un jour je pourrai te l'expliquer, mais là je ne peux pas !

Karma : Un jour ... c'est long, mais je ne peux pas te forcer ... bref ... j'ai envie de m'amuser...

- De quoi tu parles ?

Karma : Tu vas bien voir...

Il mit sa tête dans mon cou, je sentais son souffle dans mon cou, c'était apaisant, et je sentais aussi qu'il aspirait ma peau. Qu'est - ce qu'il fabrique ?

- Karma ... arrête ... s'il te plait ...

Karma : Je m'amuse à peine...

Il entoura ma taille de ses bras, et mes manches de chemise tombées sur mes épaules, mes yeux se fermèrent d'eux - mêmes et je m'endormis.

Pdv Karma

Je sentais des ronronnements, elle dort, je rêve ! J'ai dû lui faire de l'effet, mais qu'est - ce que je raconte ! En plus de ça je lui ai fait des suçons, mais de toute façon elle aura quatre surprises demain.

LE LENDEMAIN

Fin Pdv Karma

pdv Shizu

Je me réveillai dans les bras de Karma. Il dormait toujours. Je me sentais bien dans ses bras et je me levai à contre - coeur pour aller dans la salle de bains. Je regardai mon visage dans le miroir, et là des ... non je rêve ! Il a osé DES SUCONS !!!!! J'ai quatre suçons dans le cou !!!!! Je sortis et retournai dans la chambre. II dormait encore. Je le réveillai en lui lançant un de mes mangas.

Karma : Aïe ... mais ça ne va pas !

- Espèce de pervers ! Tu penses que ça c'est bien ? Comment tu veux que je cache ça à Hayato et Sherire ?

Il se leva et regarda mon cou de chaque côté, et un sourire fier et en coin, limite pervers, apparut sur son visage.

Karma: Mm ... je ne suis pas allé de main forte pourtant ?

Il me prit comme un sac à patates et m'emmena dans la salle de bains.

- Qu'est-ce que tu fais ? Lâche moi !!! Tu entends, lâche moi !!!!!

Karma : C'est pas comme ça que tu vas réussir à m'avoir, tu sais ?

Il m'emmena dans la salle de bains, me posa sur le rebord du lavabo et prit du fard à joue et s'approcha de mon cou. Je sentais son souffle sur mon cou, ça me donna des frissons.

Karma : J'ai terminé.

Je me regardai dans le miroir, plus rien ! Mes peurs s'en allèrent quand Karma sortit de la salle de bains pour se diriger dans ma chambre ; je le suivis et il s'est rendormi, je rêve ! En même temps on est dimanche, je vais faire un petit somme...

- Pousse - toi un peu, moi aussi je veux encore dormir !

Il s'exécuta en me reprenant par la taille et c'est ainsi que j'ai dit bonjour au pays des rêves. Je me réveillai quelques heures plus tard avec une tomate pourrie sur moi, je le regardai et caressai ses cheveux.

Karma : Tu ne veux toujours pas me dire pourquoi tu es arrivée dans la classe ?

- Tout ce que je peux te dire, c'est à cause d'un accident.

Karma : Mm ... je vois...

- Lève - toi !

Karma : Mm ...

- T'es lourd ...

Karma : Je veux encore dormir

- Alors toi dors, et moi je vais préparer à manger.

Karma : alors je te suis !

On se leva et descendit ; arrivés en bas, personne ! Je dis à Karma qu'on allait faire une blague à Sherire et Hayato parce que hier soir on avait entendu plein de bruit ; alors on se dirigea vers leur chambre, j'ouvris la porte et on cria :

Les deux : BOU !!!!!!!

Ils ont eu peur, mais ils étaient nus sous la couette, alors je suis sortie de la chambre en courant toute rouge écarlate. Karma lui s'en fichait... Il était mort de rire...

- Plus jamais ...

Karma : T'as jamais vu tes parents faire la même chose ?

- Non, parce que ma mère est ... morte à ma naissance, elle a donné son dernier souffle pour moi. Papa lui avait promis de s'occuper de moi et ça a marché ... Bon, tu veux quoi à manger ?

Karma : Tu changes vite fait de discussion toi !

- Je ne m'attarde pas sur mon passé, j'avance sans me retourner et passe à autre chose en me disant qu'ils ont donné leur vie pour moi, c'est ce que je me dis.

Karma : Eh bien ... je ne te comprendrai jamais.

Sherire : C'était quoi cette attaque surprise, ça ne va pas ?!

- Perverse !

Sherire : QUOI ?! Comment oses - tu !! Viens par là toi !

- Ah !! Au secours ! Une folle perverse ! A l'aide Karma, à moi !

Hayato : Tu as le droit de la traiter de perverse parce que c'est elle qui voulais, alors que moi j'attendais après le mariage.

- Ha !! prise par son propre piège, ah ah ... et elle continue de me poursuivre !!

Je sautai sur le canapé, mais je glissai et j'allais tomber par terre quand je sentis autre chose à la place de la douleur, des bras ! J'ouvris les yeux et vis Karma.

Karma : Eh bien, on ne peut pas te faire confiance ! Et combien tu pèses ? On dirait que j'ai à faire à une plume !

- ça ne se fait pas de demander combien pèse une fille ...

Sherire : 38 kg. Elle mange tellement et ne prend qu'un gramme à chaque fois !

- Hé !!! Ce n'est pas sympa ça !

Hayato : C'est vrai, mais c'est surtout sa taille de poitrine, on a l'impression que quand elle mange, c'est sa poitrine qui prend à la place de son ventre !

Sherire : Et depuis quand tu t'intéresses à ça, Hayato ?

Hayato : Depuis aujourd'hui. Bon ... on mange ? Parce que moi j'ai faim !

Karma me déposa, il avait l'air de rougir, bref ... Je fis à manger parce qu'il était quand même midi. Après ça j'ai passé la journée avec Karma à jouer à des jeux vidéo ou lire des mangas, puis il rentra chez lui, et le soir j'allai me coucher parce que je n'avais pas faim. Je laissai le monde des rêves m'emporter, mais je pensais encore à Karma , il occupe trop mes pensées, il faut que je m'écarte un peu de lui pour penser davantage à ma mission.