Bonjour ! Il y a trois mois lors d'un voyage d'affaire mon père et mort en me protégeant et j'ai, pendant un mois de plus était torturée, j'ai était retrouvée dans un lit d'hôpital. Je me suis levée pour sortir quand une femme me prit la main et un...
- Bonjour, moi c'est Shizu Wushuzuki, et après trois mois d'absence, je suis de retour dans mon école et dans le bureau du proviseur.
Proviseur : Tiens tiens, que nous vaut ta visite ? Tu viens pour aller en cours après 3 mois d'absence !
- Oui M. le Proviseur
Proviseur : malheureusement non tu ne peux pas, par contre tu peux ...
Il s'est levé et est venu à côté de moi.
Proviseur : tu peux aller dans la classe 3 - E
Mm ... je vois, donc à cause du retard il veut que j'aille dans cette classe mais aussi à cause de ce soir- là, bref ... On dit que cette classe est médiocre, mais je n'aime pas la façon que les autres ont à les démoraliser, mais je veux bien ...
- J'accepte avec grand plaisir !!
Je partis sans dire un mot de plus dans le couloir. Pendant que je marchais de plus en plus vite pour quitter cette école, l'air était irrespirable ; devant le portail je regardai une dernière fois le bâtiment et surtout la fenêtre du proviseur qui avait un sourire dégueulasse sur le visage, et un souvenir me revint
( souvenir
???? : Prenez- la à la place de son père, elle sera parfaite
- Quoi, mais de quoi vous parlez, lâchez moi !!!
???? : Torturez - la
- Non non non !!!!! Ah Ah Ah Ah !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Fin du souvenir)
- Mais qu'est- ce qu'il s'est passé durant ces mois ?
Je suis partie aller faire des courses et je suis rentrée chez moi. En rentrant j'enlève mes chaussures et crie :
- Je suis rentrée Sherire!
Sherire est ma tutrice. Depuis que papa n'est plus de ce monde, elle s'occupe de moi et elle était la partenaire de papa, donc ils se connaissaient.
Sherire : Bon retour, prépare la table !
Je fis ce qu'elle m'avait demandé et je suis allée prendre une douche et m'habiller. Après avoir mangé, Sherire est partie ; elle travaille dur pour payer l'appartement dans lequel on vit, bref ... On sonna à la porte.
- Bonsoir, à qui ai- je l'honneur ?
Karasuma : Bonsoir, je fais partie du gouvernement.
- Entrez, mais seul !
Il soupira et entra, je le fis s'asseoir sur le canapé. Il re-soupira en ouvrant un sac noir.
Karasuma : Bien, alors dans l'école que vous allez intégrer il y a un poulpe du nom de Koro – Sensei. Il sera votre cible, vous pourrez l'éliminer avec ça, des armes spéciales pour le détruire, vous avez jusqu'à mars prochain pour l'éliminer.
- Mm... merci ! Par contre, au lieu du pistolet est - ce que vous pourriez me donnez un katana et un silencieux, et aussi tout ce qu'il y a d'écrit sur cette liste ?
Karasuma : Très bien ! Bon, alors à demain !
- Merci, au revoir Karasuma- Sensei !
Je ne perdis pas de temps et allai faire des recherches et aussi hacker le gouvernement, bref ... Après ça j'allai me coucher, je pense me lever tôt demain.
LE LENDEMAIN
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Je me réveillai donc à 6 heures parce que les cours commençant à 8 heures sont ma routine, mais dans la salle de bains en enlevant mon pyjama, je revis ce bandage avec la même blessure. Je partis à 6 heures 30 avec mes rollers, j'arrivai devant une école délabrée. J'enlevai mes rollers pour utiliser mes chaussures de cours, je visitai l'intérieur et arrivai en salle des profs. Irina était là.
Irina : Tu dois être la nouvelle ?
Koro - Sensei : tu arrives sacrément tôt !
- La vie appartient à ceux qui se lèvent tôt.
Un cercle rouge apparut sur le visage du poulpe qui avait changé sa couleur de peau pour être orange. Je pensai que j'avais bien répondu.
Karasuma : Veuillez m'excuser de mon retard, mais on s'est fait hacker par quelqu'un.
- Ah ... ça, euh ... c'est moi ...
Karasuma : Eh bien, qui aurait pu penser que la nouvelle puisse hacker le gouvernement ?
Koro - Sensei : Allons en cours, venez avec moi Shizu - Chan !
- Avec grand plaisir !
On alla en cours, et la classe commençait à se remplir de tous les élèves. Un en particulier m'intrigua, il avait les cheveux rouge sang .
Koro - Sensei : Bonjour à vous, nous accueillons une nouvelle.
- Bonjour, je m'appelle Shizu Wushuzukii, je suis ravie d'être ici, j'espère qu'on s'entendra bien.
Koro - Sensei : Bien...
Terasaka : Tiens tiens, que fait la reine de la classe 3 - A ici ? Tu as été abandonnée par le pro ?
Koro - Sensei : Terasaka !! Si c'est pour dire des âneries, tu peux rentrer chez toi, allez, va au fond à côté de Karma !
Je partis à ma place assise, les autres se levèrent et tirèrent sur la cible, sa vitesse était de Mach 20. Mm ... c'est bon à savoir ! Tant que je n'ai pas les armes, je ne peux pas le tuer, alors je regarde ...
Enfin terminé, tout le monde s'assit, les cours se passèrent à vitesse grand V. Quand l'heure de manger arriva, je sortis mon panier repas, mais alors que j'allais manger deux élèves arrivèrent.
Nagisa : Salut, moi c'est Nagisa Shiota et elle, c'est Kaede Kayano. On peut manger avec toi ?
- Bien sûr !
???? : Donc c'est toi qui nous sauve à chaque réunion dans le gymnase quand le prof oublie de nous donner des feuilles ?
- J'ai été démasquée, mais je n'aime pas comment on vous traite à l'école.
Yuuma : Je suis heureux de te rencontrer, mon nom est Yuuma Isogai
- Enchantée Isogai !
Il s'installa et toute la classe arriva. Nous discutions de tout et de rien, sauf une personne, Karma Akabane, qui elle restait à sa place en me fixant. La pause dînette passa à grande vitesse. Quant au cours c'était ennuyeux, je connaissais déjà tout. Le soir je sortis la première, mis mes rollers et dévalai la pente en chantonnant. Je fis mes courses pour le soir en passant par le parc, je vis des élèves de 3 – A. Un garçon me fit un croche - patte que j'évitai. Pendant que je faisais une roue, celui - ci énervé me dévisagea.
Fille : Eh ben ... tu as été abandonnée par ton père parce qu'il avait honte de toi !
Après qu'elle ait dit ça, la haine était dans mon regard ; je regardai le regard haineux en sa direction et dis de la façon la plus glaciale :
- Pour qui tu te prends pour me parler de la sorte ? Même si je suis en 3 – E, je suis beaucoup plus intelligente que vous !
Je m'avançai tandis qu eux reculaient de peur.
- Allez- vous en !
Ils partirent en courant et en criant qu'ils le diraient au proviseur, je me retournai et vis ...
