Maimouna, un ménage presque parfait...!

Partie 13

Partie 13

Ma femme m'a presque supplié de la laisser avec Mariama vu que ma maman et ma sœur doivent être assistées par des femmes, je n'ai pas trop résisté. Je ne vais pas aussi dire que ça ne me fait pas plaisir d'aller à la maison et dormir. J'étais très fatigué. Ibrahim et ma Djamila était les premiers à arriver à la maison et ils sont partis dormir aussitôt. J'avais faim mais je préférais dormir.

- Bon retour monsieur.
- Merci, tu fais quoi seule dans la maison ?
- Je vous attendais pour vous servir à manger à la demande de madame.
- Je ne vais pas manger, je vais aller dormir.
- D'accord !

Je ne connais même pas son nom, cette servante toujours à se mêler de ce qui ne la regarde pas aussi. Je suis parti me doucher et comme toujours, j'ai voulu dormir nu j'avais oublié la bouteille d'eau et pendant que j'étais seul dans la maison, je suis arrivé à la cuisine. En retournant dans le couloir, je croise cette bonne qui a ma vue se retourne très vite. J'étais très gênée et je ne savais pas quoi faire. Ma bouteille était tombée et j'ai laissé pour aller m'habiller. Personne n'a dit mot. Quelques instants après, elle me suit avec la bouteille.

- Monsieur, votre bouteille d'eau.
- Je ne savais pas que tu étais dans la maison.
- Désolée, c'est de ma faute.
- C'est quoi ton nom ?
- Fati !
- Viens à côté de moi.
- Pardon ?
- Tu ne veux pas te mettre à la place de ta patronne pour une fois ?

Elle ne se fait même pas prier, elle vient se coucher j'ai compris que j'allais faire le travail seul bref, je voulais juste me mettre bien et le reste je m'en fous. Je cherche dans ma cachette un préservatif, c'était là depuis je ne sais combien de temps, je ne vais pas me permettre de faire une bêtise avec une bonne sans me protéger tout de même.

- Vas-y, personne ne va venir. On va faire ce qu'on veut. Tu as peur ?
- Je veux juste le faire sur les drap de ta femme !
- Sur notre lit ? Mais tu es folle ?
- Oui oui je veux le faire là !

Après avoir longuement réfléchi, j'accepte, nous le faisons sans préliminaires ni rien. Je ne vais pas aussi embrasser celle là !

- Tu étais un vrai taureau, j'ai aimé et toi ?
- Il s'est passé quoi ?
- Si seulement je pouvais en avoir encore plus.
- Plus de quoi ? Il ne s'est rien passé ici tu m'entends ? Tu vas me faire le plaisir d'oublier et tout de suite.
- Mais...
- MER.DE...
- Quoi ? Qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi tu cries ?
- La capote a percé.
- Quoi ? tu es sérieux ?
- JE TE JURE ! MER.DE ! MER.DE !
- QU'ALLONS NOUS FAIRE ? QUE VAIS JE FAIRE ?
- Arrêtes de crier sale prostituée, arrête de crier il y'a mon frère et ma sœur dans la maison.
- Je ne veux pas tomber enceinte hein, je ne veux pas, je dois me marier et avec ton frère en plus. Il me fait la cour, il m'aime !
- Comment ca ? Du genre tu sors avec mon frère ? Dis-je avant de pouffer de rire.
- Non mais tu es un pauvre con, on m'a prévenu, j'aurai dû faire attention !
- Tiens c'est 5000, je vais t'écrire un nom de médicament, dès le matin, tu vas et tu le paies pour avaler !
- Mais vas-y toi même le payer !
- Tu es bête non ? Écoute, sors d'ici !
- Je ne sors pas. Je vais aller où moi ?! Et...

Elle allait en placer une mais quand karim l'a ramassé avec une gifle, elle a déblayé du lit pour vouloir sortir avec la porte de la salle de bain tellement elle était perturbée.

- Tu vas où ? La sortie c'est par là...
-...
- Et écoute moi, prends ta journée ne dit à personne ce qui s'est passé entre nous !
- C'est compris monsieur !

Le matin, il s'est lavé puis il a pris encore la route de la clinique. Dans la voiture, Karim n'arrêtait pas de trembler, il sort de sa boîte à gants une petite boîte, il se gare et sort cette poudre blanche qu'il snife d'un trait, puis une deuxième et enfin il se calme !