~Une histoire d' amour~

Chapitre 37: Jortini à jamais

Point de vue de Martina :

On arrive à la fête. La maison est immense et très belle. Je suis habillée comme ça :

Lodo comme ça :

Alba comme ça :

Cande elle est comme ça :

Et Paloma comme ça :

Je m'assieds près de Jorge et il me  chuchote :

Jorge: magnifique.

Moi: toi aussi.

Jorge : Paloma Blanco je peux savoir pourquoi tu n'as pas porté les habits que j'avais choisi?

Moi: Jorge! Laisse la. Ce n'est plus un bébé.

Paloma : on va danser Rugg

Rugg: ouais que la fête commence.

Jorge : fais attention à ma soeur

Paloma: Jorge, pff t'es insupportable!

Moi: vas t' amuzez Paloma.

Elle se lève et va danser avec Rugg. Sam vient vers  Cande et lui dit:

Sam: envie de bouger ton corps?

Cande: oui.

Ils partent danser, suivi de Facu et de Alba. Est ce qu'ils sont ensemble ces deux là. Je l'espère. Lodo va chercher à boire et Nico va danser lui aussi. Jorge prends ma main  et entrelace nos doigts. Je décide de faire le premier pas.

Moi: on va danser ?

Jorge: oui.

On va sur la piste et on commence à danser. Coller serrer, bougeant au rythme de la musique. Je lui chuchote à l'oreille :

Moi:  je suis désolée.

Jorge: hein.

Moi: de ne pas t'avoir cru.

Jorge: il ne s'est rien passé Tini c'est...

Moi: je t'aime.

Jorge: moi aussi je t'aime.

Il pose ses lèvres sur les miennes délicatement et m' embrasse. Je répond à son baiser. Il me mord la lèvre inférieure et j'entre ouvre mes lèvres. Sa langue vint trouver la mienne et ils  commence une danse endiablée. C'est magique. Des frissons parcourent mon corps. Je ressens des papillons dans mon ventre. C'est un sentiment étrange comme des papillons qui cherchent des fleurs de couleurs dans mon cœur. J' enroule mes bras autour de son cou. On  rompt notre baiser et on se regarde dans les yeux.

Jorge : je t'aime.

Moi: moi encore plus.

Éclipse jusqu'à minuit:

On a fait que danser,boire et jouer à action ou vérité. Avec Jorge, on se câlinait et on s' embrassait avec la langue. J'ai passé une merveilleuse soirée. Je suis soûle. Et tout le monde aussi sauf Jorge qui est resté sobre. Bref, il est tard et je dors chez Jorge. Avec Paloma on monte à l'arrière de la voiture et on chante comme des folles. Arrivé chez Jorge on descend de la voiture et on pénètre dans la maison. Heureusement que ses parents dorment déjà. Jorge a prévenu ma mère que je dormait avec lui. Paloma va se coucher dans sa chambre tandis que Jorge et moi nous nous dirigeons vers la sienne, main dans la main.

Moi : qu'est ce qu'on fait maintenant?

Jorge: je sais pas il est tard.

Je vais vers lui et l'embrasse à pleine bouche. Je ne sais pas si c'est l'alcool ou mais j'ai envie de m'amuser. Tout en ne quittant pas mes lèvres, il me plaqua contre le mur et enleva la chemise bleue qu'il portait. On haletait  tous les deux et c'était comme si nos corps fusionnaient. Je sentis ses frissons et les miens apparaîtrent en même temps. Alors que j 'accordai la permission à sa langue d'entrer dans ma bouche, la mienne chercha la sienne et une fois trouvées, elles  commencèrent à valser ensemble. Il se détacha de mes lèvres et me fit des baisers dans le cou tout en tirant légèrement sur mes cheveux. Je ne pouvais m 'empêcher de gémir. Je caressai son dos du bout de mes ongles, ce qui le fit grogner. Il enleva ma robe d'un claquement de doigt et j'étais maintenant exposée rien qu'en sous vêtements comme ça :

Il me regarda et vint enfouir sa tête dans le creu de mon cou. Il commença à descendre ses baisers tandis que j'entortillai ses cheveux fins, autour de mes doigts. Arrivé à ma poitrine, il leva 'la tête afin de me demander la permission et je la lui accordait d'un hochement de tête. Il grogna en dégradant mon soutien gorge et posa sa main sur ma culotte pour me caresser ce qui me fit courber violemment de plaisir.

Point de vue de Jorge :

J' arrêta de la caresser et l' allonge sur mon lit en la couvrant avec ma couette. Elle me demanda :

Tini : qu'est ce qu'il y'a Jorge?

Moi: rien, tu n'es pas sobre. Repose toi.

Tini: viens avec moi.

Je monte sur le lit et m' allonge près d'elle. Elle pose sa tête sur mon torse et s'endormit.
Je ne refusais jamais pourtant une partie de jambe en l'air, sobre ou pas. Mais là. Ça fait tellement longtemps que je n'ai pas touchée une fille.
Et putain cette attirance électrique que j'avais ressenti entre nous. Même si je l'avais fait des dizaines de fois, je n'avais jamais ressenti une sensation pareille, comme si nos corps se comprenaient. Comme si nos corps s' embrasaient. J'avais senti chaque parcelle de son corps s'enflammer tout comme les miennes, comme si nos corps avaient formé une seule entité le temps d'une minute...