Point de vue externe:
Martina glissa sa main sur la nuque de Jorge et inclina légèrement la tête pour approfondir leur baiser. Elle poussa un gémissement lorsqu'il introduisit la langue dans sa bouche. Jorge s'écarta légèrement d'elle et repoussa les cheveux de Martina de son visage puis plongea son regard dans le sien. Elle fut hypnotisée par sa beauté et se perdit dans les profondeurs insondables de son regard. Il s'empara de nouveau des lèvres de Martina dans un baiser agressif qui lui coupa le souffle. Ils se décolèrent et se regardèrent durant une minute, une minute qui parut une éternité pour Martina. Celle-ci, emprisonna son visage entre ses mains et sa barbe naissante lui Picota délicieusement les paumes, elle passa ses mains sous la chemise de Jorge et fit glisser ses doigts sur son torse. Elle s'émerveilla de sentir ses muscles se tendent sous ces caresses. Les yeux rivés aux siens, Martina noua ses bras autour du cou de Jorge, puis l'attira vers elle pour l'embrasser. Ils se laissèrent tomber sur le lit tandis-que Jorge lui rendit son baiser avec fougue en glissant sa langue dans sa bouche. Il glissa ses mains le long du dos de Martina pour ouvrir la fermeture de son haut, puis il se débarrassa du pantalon et des escarpins de cette dernière. Les vêtements tombèrent au sol et Jorge dégrada son soutien gorge. Il se mit à parsemer son cou de baisers. Jorge sentit sa virilité réagir aussitôt. Il rapprocha un peu plus son visage du sien puis d'une lenteur délibérée, prit le temps d'explorer le contour de ses lèvres avec sa langue avant de l'embrasser une nouvelle fois avec une passion qu'il ne pouvait plus réfréner.
Jorge se redressa et se déshabilla entièrement avant de la rejoindre. Dès qu'il s'allongea sur elle, Martina poussa un soupir de satisfaction. Jorge tout nu allongé sur elle et l'écrasant de tout son poids l'excitait. Il posa ses lèvres dans le creux de son cou et elle inclina la tête pour mieux savourer ce baiser. Il fit glisser ses lèvres sur son épaule avant de descendre plus bas. Elle s'attendait à sentir sa bouche sur ses seins mais au lieu de cela, ses lèvres effleurérent son ventre et son nombril. Une vive décharge parcouru tout son corps quand elle sentit le souffle chaud de Jorge contre son sexe. Sa respiration s'accéléra lorsqu'elle sentit le sexe de Jorge effleurer le sien. Il lui écarta les cuisses et plaqua ses poignets au dessus de sa tête puis la pénétra brutalement. Il posa aussitôt des lèvres sur les siennes en étouffant son cri de douleur. La poitrine de Martina se soulevait rapidement au rythme de sa respiration saccadée. Jorge se mit à bouger lentement en elle, hypnotisé par les sensations exquises de sa douce peau contre la sienne et de ses seins voluptueux collé contre son torse. Martina était toute à lui encore une fois, elle s'était offerte à lui comme elle l'avait fait il y'a de cela quelques années. La douleur de Martina se dissipa progressivement et laissa place au désir. Elle s' habitua à cette sensation que le sexe dur et imposant de Jorge lui procurait désormais. Elle enroula ses jambes autour de la taille de Jorge. Prenant ce geste pour une invitation, il augmenta le rythme de ses coups de rein en la pénétrant au plus profond de son être et de plus en plus vite. Martina gémissait le nom de Jorge à chacun de ses coups de rein violent mais toujours sensuel. Soudain, elle se cambra et Jorge sentit son sexe se contracter autour de son membre. Un orgasme d'une intensité très élevé, envahit son être. Ravagée par l'extase, ses gémissements se transformèrent en un cri dans lequel elle prononça le prénom de l'homme qui la faisait jouir et qui l'avait emporté vers des cieux inconnus.
Jorge s'enfonça en elle une énième fois avant de s'abandonner à son tour à l'extase.Martina : Jorge* murmura t- elle fatiguée et en sombrant dans un profond sommeil.*
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~Une histoire d' amour~
FanfictionIl était une fois dans ma vie une fille. Elle s'appelait Martina, pour moi elle était Tini. Pourquoi ne pas l'avouer tout de suite, je l' aimais. Elle était très belle et intelligente. Elle m'avait séduite dès notre première rencontre. Elle avait qu...