~Une histoire d' amour~

Chapitre 20:L'accident de Tini

Pdv: Jorge

Je me trouve à l'hôpital, le même où le père de Tini était. Celle ci a était heurtée par une voiture. J' étais tranquillement dans ma chambre entrain de regarder un film en attendant un appel de Tini, je lui avais demander de m' appeler lorsqu'elle serait arrivée chez elle. Quand mon téléphone se mit à sonner. Je le pris rapidement croyant que c' était Tini mais c' est la voix de María que j' avais entendu. Elle m' avait annoncée que Tini a eu un accident. Je vais vite foncée à l'hôpital. Ses parents m'ont dit qu'elle était hors de danger. Elle avait juste la jambe cassée et un petit traumatisme crânien.
J' avais tellement peur qu'il lui soit arrivée quelque chose de bien trop grave. L'idée de la perdre m'est inimaginable. Jamais je ne me l'aurait pardonné s'il lui était arrivée quelque chose.
J'étais toujours dans mes pensées quand une main se posa sur mon épaule. Je leva la tête et vis la mère de Tini.
María : elle te demande Jorge
Moi : moi ?
María : oui. Elle veut te voir.
Je me leva d'un seul coup et la remercia. Puis je me dirigea vers la chambre de Tini et toqua à la porte. Après avoir entendu un léger << entrer>>, j' entra et je vis la fille qui fait battre mon cœur allongée sur ce lit d'hôpital, mon cœur faillit lâcher.
C'est de ma faute.
Je n'aurais pas du la laisser rentrer seule à pied.
Je baissa la tête et m' approcha d'elle. Elle me vit et sourit.
Tini : Jorge?
Moi : oui mon cœur.
Tini : viens m'embrasser.
Je posa délicatement mes lèvres sur les siennes. J' avais peur de lui faire mal. Elle répond quand même à mon baiser. On se sépare et je lui fis un léger bisou sur le front. Je glissa ma main dans la sienne.
Moi : Tu vas bien ?
Tini : oui, j' ai un peu mal à la tête mais ça va.
Moi : j' ai eu la peur de ma vie.
Tini: c'est arrivé tellement vite.
Moi:  chut n'y pense plus. C' est de ma faute. J'aurais dû te raccompagner chez toi.
Tini: non, c' est moi qui ai voulu rentrer à pied. Arrête de dire ça ou sinon je te boude, d' accord ?
Moi: oui mais..
Tini : il n'y'a pas de " mais"
Je souris et elle fit de même.
Je la pris dans mes bras et la serra contre moi. Nous fûmes interrompu par ses parents. Je me décale un peu pour les laisser en famille mais le père de Tini me dit:
César : merci d'être venu voir Tini mais tu devrais rentrer chez toi, il commence à se faire tard.
Moi: oui.
Je vais vers Tini et l' embrasse sur la joue puis que ses parents sont là.
Moi : à demain petit coeur.
Tini : tu viendras me voir.
Moi: je passerais après les cours.
Moi: Au-revoir Mr et Mme stoessel.
María: au-revoir Jorge
César : Au-revoir.
Je sors de la chambre après avoir fait un clin d' œil à Tini qui rougit comme une tomate.
Je récupère ma voiture dans le parking et rentre chez moi. Mes parents ne  sont pas là comme d'habitude. Je me suis habitué à leur absence. Je commande une pizza puis je m' affale sur le canapé.
Deux semaines plus tard

Pdv: Tini
Je sors de l'hôpital aujourd'hui, je suis tellement heureuse. Je me sens super bien. Mais je dois gardé le plâtre encore une semaine. J'ai manqué beaucoup de cours à cause de mon accident mais Jorge m'a promis de m'aider à me rattraper. En parlant de lui, ça fait deux jours qu'il n'est pas venu me voir mais il  m'appelle. Je l'ai prévenu que je sortais aujourd'hui de l'hôpital. Il était très content et m' a proposé de passer le week-end chez lui, ces parents seraient là et j'en  profiterait pour mieux les connaître, et bien-sûr j'ai accepté après avoir demander la permission à ma mère.
L'infirmière m'aide à mettre ma jupe avec difficulté à cause de mon plâtre. Puis après on toqua à ma porte. Ce fut Jorge qui sauta dans mes bras. J'étais tellement contente de le voir. Il m'a tellement manqué. Je le serra très fort contre moi.
Moi: tu m'as manquer Yoyi.
Yoyi: toi aussi bébé.

Jorge m'attira à lui pour plonger ses yeux dans les miens. Je n'essaya pas d'échapper à son regard. D'un doigt, Jorge releva mon  visage, à la recherche de mes lèvres qu'il effleura doucement.
Je pris mon courage et l'embrassa tendrement et amoureusement.
Je souris contre ses lèvres et il me dit.
Yoyi: on y va?
Moi: oui.
Il prit mes affaires et on sorti de la chambre heureux enfin surtout moi. Je me déplaçais en béquilles.  Je repéra ma mère à l'acceuil entrain de signer des papiers sûrement pour que je puisse sortir. Après 30 minutes d'attente, je pus enfin sortir. Ma mère nous raccompagna Jorge et moi jusqu'à la voiture de Jorge et me fit promettre de rester sage. Puis elle partit à la maison tandis que Jorge et moi nous nous dirigeons chez lui, les doigts entrelacés, en espérant passé une agréable journée....