Il est directeur d'une université prestigieuse à Paris.
Elle a l'âge de sa fille et est prête à tout pour le séduire.
Tomber amoureux de son prof ?
On pourrait croire que c'est le début d'une comédie romantique à l'eau de rose mais non, c'est jus...
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LUIZA
Nous ouvrons le canapé-lit et comme convenu, je mets la suite du film. Allongée confortablement, je repense à ce moment où il m'a empêchée de l'embrasser. Mais comme on dit, il n'existe aucune gêne lorsque vous avez bu et je comptais bien ressayer. Si je ne le fais pas maintenant, je ne le ferai plus jamais.
Aucun de nous ne prête réellement attention au film. Mon directeur regarde attentivement l'écran comme s'il avait peur de croiser mon regard.
Remarquant nos verres vides, je me lève et me dirige vers la cuisine pour prendre une autre bouteille de vin. Je me réinstalle dans le divan sans prêter gare à ma jupe qui se relève faisant d'elle une micro jupe. Une demi-heure plus tard, la bouteille de vin est vide. Fixant toujours Andrew, je mordille ma lèvre en imaginant toutes ces choses que je pourrais lui faire.
- Arrête de me regarder comme ça, dit-il, les yeux rivés sur l'écran.
- Que veux-tu dire ? réponds-je en faisant l'innocente.
-Juste... Concentre-toi sur le film et c'est tout...
Je soupire et concentre mon regard sur la télé. Plusieurs minutes passent et pas de chance pour nous, une scène de sexe vraiment hot commence. Nous sommes tous les deux tendus mais lui encore plus. Je le regarde à nouveau et cette fois, j'ose.
Je déboutonne discrètement les trois premiers boutons de ma chemise pour faire sortir mes seins comme des melons avant de me glisser sur le côté et presser mes lèvres contre les siennes.
Je l'imagine me repousser et me lancer un regard chargé de reproche mais au lieu de ça, il glisse sa main dans ma nuque, approfondissant le baiser.
Une vague de chaleur m'envahit lorsqu'il sa langue chaude pénètre entre la commissure de mes lèvres. Aussitôt, mes mains vont retrouver ses boucles et un gémissement enfuit depuis trop longtemps m'échappe. Ses mains viriles descendent lascivement sous ma jupe alors que je monte à califourchon sur lui. Je commence à me déhancher sur lui et sens une longue colonne de chaire durcir le long de sa cuisse. Souhaitant aller plus loin, je commence à déboutonner les boutons de sa chemise lorsqu'il retient mes mains.
- Luiza attend... Je suis désolé mais on ne peut pas continuer... murmure-t-il.
- Pourquoi ? demandé-je en essayant de l'embrasser à nouveau mais il ne me laisse pas faire.
- C'est mal et Norman va me tuer.
Il tente de se dégager mais j'embrasse sa mâchoire et descends dans son cou.
- Norman n'en saura rien. Ce n'est que pour une nuit... susurré-je. Nous méritons tous les deux un peu de bon temps après cette journée folle...
Je déboutonne complètement sa chemise et glisse ma main sur son torse, descendant jusqu'à son entrejambe provoquant un grand soupir de sa part.
