Il est directeur d'une université prestigieuse à Paris.
Elle a l'âge de sa fille et est prête à tout pour le séduire.
Tomber amoureux de son prof ?
On pourrait croire que c'est le début d'une comédie romantique à l'eau de rose mais non, c'est jus...
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ANDREW
Caché derrière mon verre de champagne, je dévore Luiza du regard. Je suis littéralement hypnotisé par sa beauté et je ne peux m'empêcher de détailler sa silhouette. Mon regard se perd un long moment sur ses seins avant de remonter sur son visage pour fixer ses jolies lèvres pulpeuses. Elle passe sa langue sur ses lèvres qui finissent par se retrousser pour affiche un sourire sexy. Elle se déhanche au rythme de la musique, ses seins rebondissants à chacun de ses mouvements. Mon regard est maintenant aimanté par ses hanches et ses fesses qu'elle balance en rythme. Sa jupe n'est-elle pas un peu court ? Je pourrai presque voir son sous-vêtement... À cette constatation, je sens mon sang affluer vers mon entrejambe quand soudain, une main se pose sur mon épaule et me tire de ma contemplation.
- Luiza commence à exagérer, soupire Norman qui ne semble pas s'être aperçu de mon trouble.
Pris la main dans le sac, j'avale de travers puis ris nerveusement avant de répondre d'un ton taquin:
- Elle a mis l'ambiance au moins.
Il sourit avec amusement, secrètement fier d'elle.
- Je peux te demander de l'escorter jusqu'à sa chambre ? Si elle râle, dis-lui que c'est moi qui te l'ai demandé. Demain elle a un test en chimie, elle me remerciera !
Pardon ? Moi l'accompagner jusqu'à sa chambre ? Norman ne peut pas être sérieux ! Alors que je m'apprête à refuser, Diane intervient pour parler à son mari :
- Bébé tu m'accordes la prochaine danse ?
- Avec plaisir ! répond-il en me donnant son verre vide. Merci Andy, je te revaudrai ça.
Il enlace sa copine, l'embrasse fougueusement avant de l'entraîner dans le salon. Mon regard dévie sur ma cible qui boit un énième verre d'alcool. Bien décidé à accomplir ma tâche, je vais en sa rencontre.
- Je pense que tu as assez bu pour ce soir Luiza, dis-je en lui retirant son verre.
Je lui attrape délicatement le poignet pour la tirer dans le hall de nuit.
- Norman s'inquiète pour toi. Il m'a demandé de te raccompagner jusqu'à ta chambre, viens.
- Oh ! soupire-t-elle confuse. Et moi qui pensais que vous veniez passer du temps avec moi !
La soutenant d'un bras que j'ai glissé autour de sa taille, je l'aide à monter les escaliers alors que son délicieux parfum fruité vient me chatouiller les narines.